Les albums rock de 1979

20 Jazz Funk Greats THROBBING GRISTLE 1979

20 Jazz Funk Greats

20 Jazz Funk Greats est un album de jazz enregistré par le groupe The Throbbing Gristle. Il est sorti en 1979.
L’album est un album noise expérimental qui se compose de 20 pistes, qui durent toutes moins d’une minute. Il a reçu des critiques mitigées de la part des critiques lors de sa sortie, qui l’ont trouvé choquant et inécoutable.
Les chansons de cet album ont été composées avec des équipements électroniques primitifs tels que des synthétiseurs et des magnétophones. Les chansons elles-mêmes sont très courtes, la plupart durent un peu moins d’une minute et beaucoup durent 15 secondes ou moins.
Dérangeant et expérimental, Genesis P-Orridge trace un chemin hors de tout circuit commercial en 1975 avec Throbbing Gristle.
En fait, Throbbing Gristle est l’un des pionniers du rock industriel.

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L'album "A Different Kind of Tension" de BUZZCOCKS produit en 1979 - pochette

A Different Kind of Tension

Buzzcocks, avec Peter Shelley, est issu du proche entourage des Sex Pistols. Ils s’inscrivent dans leur sillage, l’aspect politisé en moins. Avec d’autres sources beaucoup plus éclectiques (Velvet, Can, pop-rock…), le groupe partage avec les Clash d’avoir su transcender le punk, ouvrant vers les décénies suivantes : la new wave, les Smiths, le mouvement « indie », Nirvana… Un très grand groupe !

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Armed Forces

Armed Forces

Après ses deux premiers albums, Costello part en tournée, enregistre un live… Il revient en studio avec ses accompagnateurs fétiches, The Attractions, pour cet album aux arrangements plus sophistiqués… des mélodies pop simples et redoutablement efficaces, montées sur châssis et son rétro (« Accidents Will Happen », « Oliver’s Army »…).

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Back in Your Life

Back in Your Life

Un album plutôt « relax » et qui ne manque pas d’originalité ! C’est la première production réellement en solo de Jonathan Richman. Un conotation souvent surf à la façon des Beach Boys et le désuet parfum de l’innocence qui faisait le charme d’une certaine Amérique du début des sixties.

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Black Rose: A Rock Legend

Black Rose: A Rock Legend

Thin Lizzy, rejoint par son guitariste des débuts Gary Moore, termine avec « Black Rose » une série de 6 albums consécutifs très réussis. Grande figure du hard des années 70, le groupe laisse pourtant l’image d’un groupe trop largement et curieusement mésestimé.

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Breakfast in America

Breakfast in America

L’album des tubes planétaires, quatre singles en seront extraits : « Breakfast in America », « Goodbye stranger », « Take the long way home » et bien sûr l’inévitable « The logical song » !… Supertramp reste insensible au mouvement punk et garde son cap positif et humaniste. Fin 82, Hodgson quittera le groupe qui se contentera alors plutôt d’entretenir la légende, de la faire revivre dans de méga-concerts.

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Broken English

Broken English

Beaucoup de chemin parcouru… La gentille égérie des sixties londoniennes, s’y est totalement faite broyée. Après de graves problèmes personnels, Marianne Faithfull revient à la chanson et marque ce retour avec cet envoûtant « Broken English », une véritable renaissance. Elle collabore ici étroitement avec Steve Winwood notamment.

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Buy

Buy

Cette esthétique d’un jazz fifties sublimé, trendy, cette cool attitude distanciée qui fascine alors New York… Comme un mouvement novateur qui allait tout exploser, en vain… James Sigfried venait de Milwaukee, pas un hazard. Un lieu d’artistes préservé, la ville des Violent Femmes et de Plasticland… Chroniqué par Fred Weber

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Champagne pour tout le monde

Champagne pour tout le monde

Entre le blues de « BBH 75 » et le hard rock de « Irradié », Higelin trouve l’équilibre avec les excellents « Alertez les bébés ! » et « No man’s land »… « Champagne » est souvent considéré comme le sommet, une sorte le « Sgt. Pepper » de l’artiste, même si l’on peut lui préférer la rugoristé antérieure. La coloration est originale, avec un bon grain de folie, une ambiance fête foraine ou musique de foire et des transitions hyper soignées.

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Cool for Cats

Cool for Cats

Squeeze est une gloire nationale en Angleterre où le tandem Chris Difford – Glenn Tilbrook est parfois comparé au Lennon/McCartney. Mais le groupe ne parviendra guère à étendre sa renommée à l’étranger. Dans la lignée des Kinks et des Beatles ils vont poposer une pop dynamique typiquement britanique. « Cool for Cats » et « Up The Junction » sont les deux tubes successifs qui popularisent largement ce deuxième album.

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Crawdaddy Express

Crawdaddy Express

Les Crawdaddys sont une curiosité anachronique californienne qui fit quelque bruit en son temps : en pleine période punk le groupe assène un rock-n-roll façon Chuck Berry doublé du beat anglais du début des années 60. Des reprises de standards et des compos originales, le tout enregistré sur un quatre pistes… histoire sans doute d’ajouter à l’authenticité de la chose !

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Damn The Torpedoes

Damn The Torpedoes

Avec ce troisième album, magnifiquement produit, Tom Petty et ses Heartbreakers atteignent une maturité certaine. On pense au Dylan électrique… Un rock carré, construit, solide… l’album rappelle aussi le Dire Straits de la même époque.

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Deguello

Deguello

Après de très grosses tournées marathon et des records d’audience aux Etats Unis, ZZ Top marque une pause de trois années. Le groupe revient ensuite à son meilleur niveau avec cet album enregistré sur une durée de six mois… l’un de ses essentiels !

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Different

Different

Tandis que la France des années 80 va s’enthousiasmer pour Téléphone, les Dogs entamment à Rouen un parcours nettement moins métiaque mais qui va marquer durablement. Une grosse poignée d’albums sans compromis et une notorité qui s’étendra à l’étranger… jusqu’aux Etats Unis où le groupe de Dominique Laboubée (chant, guitare) fera reconnaître que, finalement, le rock français existe bel et bien !

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Dirk Wears White Sox

Dirk Wears White Sox

Adam Ant est un artiste charnière entre le glam rock (Quelque chose de Bowie et Marc Bolan dans la voix) et la new wave anglaise dont il est une figure séminale. Mais le vent punk est aussi passé par là. Les Ants vont donner une dimension théâtrale inhabituelle à leurs shows avec des accoutrements de pirates. Par le punch et une orientation pop on peut les rapprocher d’Elvis Costello (« Car Trouble »). Mais le groupe installe aussi quelques climats envoûtants (« Tabletalk »).

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Door, Door

Door, Door

Les Boys Next Door c’est le premier groupe dont Nick Cave est le chanteur. « Door, Door » est enregistré en deux temps. Il en résulte une dualité évidente entre les six premiers titres au punk pop relativement formaté et les quatre suivants à la prospective harmonique plus grande. « Shivers » (le seul slow punk ?!) est un succès de la scène punk australienne. Mais le groupe, qui flirte à l’époque en concert avec le chaos et le noise, décide de tout saborder, change d’orientation, émigre en Angleterre et prend pour nom The Birthday Party.

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Drums and Wires

Drums and Wires

Ecartelé entre musique aux rythmes fracturés (Andy Partridge, guitare-chant) et pop sixties (Colin Moulding, basse-chant), XTC fait figure de Beatles de la new wave (on peut aussi pousser plus loin la comparaison avec le tandem Lennon/McCartney !). Le groupe émerge, un peu à contre-courant, en pleine période punk, et « Drums and Wires » est leur premier grand sommet.

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Entertainment!

Entertainment!

Gang of Four fait partie de ces groupes pionniers dont l’influence s’étend considérablement, de Nirvana à Rage Against The Machine, de l’indie rock au rap métal… L’histoire retiendra plutôt Joy Division, mais ce premier album est une authentique pièce d’anthologie, avec ses textes souvent politisés (on les prend en Angleterre pour des Maoïstes !), sa rythmique fébrile et ses accords de guitare convulsifs.

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Everything

Everything

Le premier groupe de Lydia Lunch laisse à l’histoire cet unique brûlot hardcore et radical (qui sera surtout redécouvert avec sa ré-édition au milieu des années 90). Ultra-violent, essentiellement crié, l’album est composé, comme les concerts d’alors, de morceaux très courts. Cette expérimentation post punk attire l’attention de Brian Eno qui s’invite en collaborateur sur quelques enregistrements du groupe.

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Fear of Music

Fear of Music

En sortant leur album noir, les Talking Heads n’ajoutent pas seulement leur nom à la galerie des jaquettes de ce type, mais distillent effectivement une ambiance oppressante. L’album scelle aussi le début d’une diversification avec « I Zimbra » et sa rythmique africaine en introduction. Malgré son titre, un album de plus du groupe à écouter sans modération.

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First Offence

First Offence

Les Inmates, hors normes, incarnent avec talent et une pêche d’enfer un courant rétro : le styles des Stones du début, avec la technique des années 80. Certains punk bands et groupes de la new wave jouent sur ce registre aussi, mais les Inmates ne sont ni punk, ni new wave… juste un bon groupe qui fait du bon rock-n-roll comme on bon vieux temps !

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Get the Knack

Get the Knack

The Knack, c’est le groupe qui réveille la pop à la fin des années 70. « My Sharona » est un gros tube qui propulse ce premier album, très réussi dans son genre, en haut de classements. Le groupe se met rapidement à dos la presse et la critique rock par une attitude arrogante et le refus de donner des interviews… mais la suite de leur discographie sera de toute façon moins intéressante.

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Hiding

Hiding

Après la séparation du groupe Heads Hands & Feet, Albert Lee devient l’un des musiciens de studio prisés de Nashville. Il se distingue aussi par des collaborations avec Emmylou Harris, Eric Clapton et les Everly Brothers. Quatre années s’écoulent avant qu’il ne recommence à travailler pour son propre compte. « Hiding » est un bel album de country rock où Lee, le multi-instrumentiste (mais surtout guitariste !), se révèle aussi bon chanteur, ce qu’il n’est pourtant pas son fort.

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Highway to Hell

Highway to Hell

« Highway to hell » est généralement considéré comme un sommet dans la carrière du groupe qui a désormais atteint une reconnaissance planétaire. Un album à considérer comme une référence absolue en matière de hard rock !

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In the Skies

In the Skies

Après Clapton, avant Mick Taylor, Peter Green avait fait partie des guitaristes virtuoses recrutés par John Mayall pour ses Bluesbreakers. Il est ensuite un des co-fondateurs de Fleetwood Mac, dont il marque la première période de sa forte empreinte blues. Il quitte le groupe en 70 et sombre dans la paranoïa et la drogue… Après neuf ans d’enfer, « In the Skies » marque son retour en forme. Malheureusement, la suite de sa carrière solo restera largement marquée par de sérieux troubles psychiques, ce qui rend d’autant plus précieux le petit joyau qu’il livre ici.

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In Through the Out Door

In Through the Out Door

Le dernier Led Zeppelin… 10 ans après le début et après trois années de silence pendant lesquelles beaucoup de choses se sont passées, la vague disco et le mouvement punk. Le course du dirigeable s’en trouve certainement altérée et c’est un étonnant patchwork qui sort. Du synthé, des accents country ou fortement rétro… On ne peut pas dire que ce soit le disque à oublier, mais ce n’est pas non plus le meilleur, ni le plus représentatif !

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Into the Music

Into the Music

Une grande réussite du poète troubadour irlandais qui marie avec bonheur les structures du rhythm-n-blues et de la soul aux violons folk omni-présents. Sans être une pièce maîtresse de la discographie de van Morrison (à la façon d’un « Astral Weeks » ou d’un « Tupelo Honey »), ce n’en est pas moins un très grand disque.

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Live

Live

Dans le courant des années 70, Mother’s Finest apparaît comme un croisement génétique entre les Isley Brothers et Led Zeppelin. L’histoire ne dit pas s’il s’agit d’associer des voix funky à la guitare de Jimmy Page ou bien l’inverse, mais la greffe réussit magnifiquement ! Ce « Live » est un grand moment, où l’on retrouve quelques titres phares du groupe, les reprises, notamment, de « Somebody to Love » de Jefferson Airplaine et « Magic Carpet Ride » de Steppenwolf.

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Live at the Witch Trials

Live at the Witch Trials

Issu de la mouvance punk, the Fall va s’en distinguer nettement par sa longévité et une impressionnante discographie. Le groupe va connaître de nombreux changements de musiciens, l’élément permanant étant son chanteur Mark Smith qui va devenir un véritable pilier du rock alternatif. Ce premier album ne s’embarrasse d’aucune sophistication. Question style, c’est une sorte de Captain Beefheart revisité façon kraut rock.

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Live in Paris

Live in Paris

Se faisant un nom dans le Chicago Blues des années 60, Luther Allison a cependant délaissé sa patrie d’origine pour venir jouer en Europe et plus particulièrement en France où il finira sa vie… Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que son premier disque live soit issu d’une de ses époustouflantes prestations dans la capitale française. Principalement influencé par B.B. King, Allison conserve pour autant sa personnalité sur 10 titres qui font regretter la disparition, en 1997, d’une telle figure du blues… Chroniqué par Pierre-André Bague

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Lodger

Lodger

Le dernier album de la « trilogie berlinoise » de Bowie est sans doute le plus accessible. S’il reste expérimental dans les arrangements, il ne comprend plus de morceaux instrumentaux et revient aux structures de la chanson pop conventionnelle. Brian Eno et David Bowie se montrent novateurs en flirtant au passage avec les « musiques du monde », africaines et orientales.

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London Calling

London Calling

Si Clash est un tenant majeur de la scène punk rock, il est aussi l’un des seuls à avoir su sortir le genre de son minimalisme et de ses caricatures… évidemment un très grand groupe ! « London calling », avec sa diversité et un son très « propre » n’est pas véritablement représentatif du punk rock, mais ce double album est un très grand disque !

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Look Sharp!

Look Sharp!

Joe Jackson (rien à voir avec Mickael) est l’un des auteurs-compositeurs les plus intéressants de l’ère post-punk. Avec un arrière-plan culturel jazz (« Jumpin’ Jive ») et classique (« Heaven & Hell »), il va surtout se faire un nom avec de grands albums pop-rock… Un contenu très aiguisé, intelligent, parfois désabusé, qui puise sa verve initiale dans la colère et l’énergie agressive du punk.

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Lovedrive

Lovedrive

Avec « Lovedrive » Scorpions ouvre une série de quatres albums magiques, voire indispensables pour les adeptes du genre (« Animal Magnetism », « Blackout » et « Love At The First Sting »). C’est le sommet de la deuxième période du groupe qui bénéficie alors d’une audience et d’un succès planétaire.

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Machine Gun Etiquette

Machine Gun Etiquette

Après une brêve séparation et le départ de Brian James, son premier leader, les Damned reviennent à leur meilleur niveau. Ray « Captain Sensible » Burns (basse et chant) est désormais aux commandes. L’album est fait d’improbables mariages de rythmiques et guitares ravageuses avec des mélodies parfaitement « lisibles »… original et saisissant.

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Nina Hagen Band

Nina Hagen Band

Expulsée d’Allemagne de l’Est en 1976 pour « comportement anti-social », Nina Hagen fréquente assidûment à Londres la mouvance musicale punk. Elle forme son propre groupe à la fin de l’année 77… C’est aussitôt un début de carrière plutôt explosif, et ce fantastique premier album, dont la langue allemande est loin d’être la seule originalité, fait très justement sensation.

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Off the Wall

Off the Wall

« Off the Wall », 5ème album solo de Michael Jackson, est celui de la métamorphose, en tous cas celui de l’explosion artistique… Quincy Jones, à la tête d’une production qui réunit le gotta des musiciens de studio, donne une ampleur énorme à cet album. Mainte fois copié par l’univers disco (ce qui, à la longue, peut le discréditer à tord) « Off the Wall » transcende le genre, retrouve l’essence du funk et reste au final comme l’un des albums majeurs de la musique noire des 50 dernières années.

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One Step Beyond...

One Step Beyond…

Lorsque le ska des années 60, proche parent jamaïcain du reggae, rencontre le rock à la fin de la décénie suivante cela donne l’une des dernières grandes nouveautés historiques : le ska revival. Madness va en être la principale incarnation, aux côtés des (English) Beat, Specials et Selecter. Ce très festif premier album est aussitôt un immense succès.

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Queen of Siam

Queen of Siam

Avec sa voix mutine et ses litanies monocordes, Lydia Lunch est la grande prophétesse de la no wave, un courant expérimental essentiellement post punk. Ses albums seront marqués par le jazz… Un personnage à l’engagement radical, issu de l’underground new yorkais, qui va partager ses activités entre musique, écriture, vidéo, photo… La no wave sera très éphémère, mais marque de nombreux artistes, notamment Sonic Youth et Nick Cave.

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Regatta De Blanc

Regatta De Blanc

Police s’est imposé de façon fulgurante dès son premier album avec les tubes « Roxanne », « Can’t Stand Losing You » ou « So lonely ». Le groupe confirme un an après avec ce qui est peut-être son meilleur disque, porté cette fois par le succès de « Message In A Bottle » et « Walking On The Moon ».

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Replicas

Replicas

« Tubeway army » et le nom du groupe avec lequel Gary Numan se fait d’abord connaître. Cet androïde, quelque part fils spirituel de Bowie, est l’un des initiateurs de la pop synthétique new wave, et, au delà, du rock techno et de l’electro dance des années 90. Une formule schématique, hyper lourde et formatée qui fascine et cartonne aussitôt en Angleterre.

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Rickie Lee Jones

Rickie Lee Jones

Rickie Lee Jones s’inscrit dans la tradition des grandes chanteuses folk et soft rock nord américaines, héritière notamment de Joni Mitchell. Découverte et lancée par Lowell George (Little Feat) et Tom Waits, son ami d’alors, elle est avec ce premier album et le succès de « Chuck E.’s in Love » une sorte de révélation de l’année. Elle n’a alors que 19 ans.

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Shots From a Cold Nightmare

Shots From a Cold Nightmare

L’itinéraire de John « Moon » Martin est fait d’ombre et de lumière. Il travaille et joue avec plusieurs groupes dès la fin années 60. En 74, un premier projet d’album solo avorte. Il devait être produit par Jack Nitzsche, et ce dernier propose « Cadillac Walk » à Mink DeVille qui en font un tube mémorable en 1977. Moon Martin sort alors de l’ombre et ce premier album le fait qualifier de sauveur du rock-n-roll. Il confirme avec les deux suivants, mais après un plus décevant « Mystery Ticket », il retourne à l’anonymat (gardien de parking !). Il n’en sortira, brièvement seulement, qu’au milieu des années 90.

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Slow Train Coming

Slow Train Coming

Même si la rumeur avait précédé la sortie de cet album, on avait peine à y croire, mais c’est bien un coup de tonnerre dans l’univers du rock qui accompagne la sortie de « Slow train coming » : Robert Zimmerman s’est converti ! « Born again » au sens le plus évangélique du terme !… L’effet de surprise passé, il reste un grand album de Dylan, divinement (oups !) accompagné ici par la guitare de Mark Knopfler (Dire Straits).

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Solid State Survivor

Solid State Survivor

Précurseur, le Yellow Magic Orchestra compose dès la fin des années 70 la B.O. numérique des futurs pocket games et jeux vidéo ! normal, le trio est japonnais… Blagues à part, Y.M.O., rappelant parfois Brian Eno, s’incrit dans la ligne du Kraut Rock et de Kraftwerk. Un travail techno-pop qui sera suivi par la longue carrière solo de Ryuichi Sakamoto.

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Strangers in the Night (Live)

Strangers in the Night (Live)

Malgré une impressionante carrière et longévité, UFO fait partie de ces groupes qui semblent éternellement condamnés à jouer les seconds couteaux. Initiateur du space metal dès le début des années 70, il joue aussi de malchance : « Strangers in the Night » sorti peu de temps après l’énorme « Live and Dangerous » de Thin Lizzy, est aussi éclipsé par le « Kiss Alive! »… mais cet album, sans doute leur sommet, est parfait pour découvrir ce précurseur évident des Metallica, Def Leppard, Megadeth ou Smashing Pumkins.

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Strikes

Strikes

Rick Medlocke (guitare, chant) avait été le batteur Lynyrd Skynyrd. Il rate le coche, en quittant le groupe avant qu’il ne devienne célèbre, pour former Blackfoot. D’abord assez typiquement southern, il finit par s’imposer sur un registre résolument hard rock (entre Scorpions et AC/DC)… assez conventionnel, mais « Strikes » est un succès.

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Tent

Tent

Les Nits (ils renonceront au « The » à la fin des années 80) font, au départ, figure de Beatles de la new wave, avec une influence de Lennon plus sensiblement. « Tent » propose une volée de chansons courtes et fraîches. Un ensemble cohérent, caractérisé par des rythmiques hâchées, métronomiques, des accords de guitares claqués, des mélodies sautillantes. Le style est très sixties, le traitement sonore plus moderne mais sans grands artifices.

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Thanks I'll Eat It Here

Thanks I’ll Eat It Here

Immense réussite pour Lowell George, le guitariste leader de Little Feat, aussitôt après la séparation du groupe. Un album solide comme le bon rock du sud (des Etats Unis !) et étonnament funky. Ce sera malheureusement sa seule production solo puisqu’il disparaîtra l’année suivante d’une overdose d’héroine.

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The Adventures of the Hersham Boys

The Adventures of the Hersham Boys

Véritable « working class hero », Jimmy Pursey, le leader-chanteur du groupe, devient assez rapidement l’authentique rock star de tous les quartiers populaires anglais. Mais après trois albums intéressants, la popularité de Sham 69 ira déclinant dans les années 80… Il en faut cependant beaucoup plus pour arrêter la route d’un groupe qui existe encore aujourd’hui !

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The B-52's

The B-52’s

Un son d’orgue résolument sec et rétro, une batterie répétitive et simpliste, un look très kitch (des coiffures montantes façon Crystals pour ces dames !) : les B-52’s célèbrent une certaine culture pop pré-Beatles. Tout cela est très dansant et c’est un immense succès aux USA !

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The Fine Art of Surfacing

The Fine Art of Surfacing

Fondé en 1975 par le chanteur Bob Geldof, les Boomtown Rats proposent un punk rock musclé aux accents souvent mélodiques (on pense parfois à Bowie). Geldof va se distinguer par la suite comme le grand organisateur des Live Aid (pour l’Ethiopie) et Live 8 qui marqueront l’histoire des concerts humanitaires ouverte au début des années 70 par le Concert pour le Bangla Desh de George Harrison.

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The Pleasure Principle

The Pleasure Principle

« The Pleasure Principle » est l’album le plus populaire de Gary Numan. Il contient le seul hit américain (mais aussi tube mondial) « Cars ». Climats glacés et romantisme caractérisent toujours la production robotique de l’artiste. Numan, alors anti-punk et pro-Thatcherien, n’en gagne pas moins une belle estime : il sera repris, entre autres, par Hole, Les Foo Fighters, Smashing Pumpkins… et Trent Reznor (Nine Inch Nails) le cite comme une influence majeure.

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The Specials

The Specials

« Gangsters » aussitôt suivi de « A Message to You Rudy », puis « Too Much Too Young », sont les premiers hits de ce qui est sans doute le meilleur groupe anglais de ska. Un succès éclair et phénoménal entre 79 et 81. Propulsé par une énergie punk et un son énorme, The Specials (qui se sont aussi appelés Coventry Automatics et Special AKA) sont produits pour ce premier album par Elvis Costello.

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The Steve Howe Album

The Steve Howe Album

Steve Howe est un grand guitariste. Il avait déjà un passé avant de rejoindre le groupe Yes en 1970 (membre du groupe Tomorrow, pressenti aussi pour intégrer Nice et Jethro Tull), et ce n’est sans doute pas totalement fortuit si Yes décolle vraiment avec son arrivée. Cet album est l’une de ses grandes réussites personnelles. On connaissait déjà son goût pour la guitare classique (le fameux « Mood For A Day »), il surprend avec des titres franchement country… Des constructions et des arrangements très fins et des ruptures façon Frank Zappa de l’époque « Hot Rats ».

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The wall

The wall

Ce double album ambitieux peut apparaître à bien des égards comme le grand sommet de la carrière de Pink Floyd. Mais il est l’oeuvre de Roger Waters essentiellement, Waters qui va bientôt quitter le groupe. Loin d’une collection de tubes (aucun titre n’en est véritablement un), « The wall » est un tout, un ensemble des plus cohérents.

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Three Imaginary Boys

Three Imaginary Boys

Les Cure de Robert Smith, qui vont devenir avec le temps un véritable monument, imposent dès ce premier album leur tonalité si particulière, un son funèbre, une simplicité et un minimalisme musical extrême. Le groupe se fait remarquer en tournant à cette époque avec Siouxsie and The Banshees (avec lesquels Smith collaborera souvent par la suite).

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Tom Verlaine

Tom Verlaine

Thomas Miller avait choisi « Verlaine » comme nom d’artiste en hommage au poète français… Son premier album solo après Television est une franche réussite. Il s’inscrit dans la continuité du groupe. On relèvera une utilisation des riffs de guitares très sixties (Rolling Stones, Kinks, Beatles), mais son style n’est pas sans rappeler celui de lou Reed parfois.

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Universal Men

Universal Men

Né en Angleterre, élevé en Afrique, Johnny Clegg, le « zoulou blanc », fils d’une chanteuse de cabaret, va devenir progressivement le grand popularisateur de la musique sud-africaine. Ses premiers albums avec son groupe Juluka mêlent chant ethnique et folk-rock façon West Coast, pour un résultat qui, étonnamment, rappelle parfois Jethro Tull (la présence de la flûte peut-être ?!).

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Unknown Pleasures

Unknown Pleasures

Avec ses litanies désespérément sombres, sa rythmique glaciale et obsédante, Joy Division devient dès ce premier album le groupe marquant de la « cold wave » britanique de la fin des années soixante dix. Son écoute installe un curieux malaise en même temps qu’une irrésistible attirance

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Wave

Wave

Avec une production lêchée et parfois de la sur-orchestration, on perd un peu de fraîcheur, mais c’est tout de même un Patti Smith, ce qui suffit à en faire un indispensable !… d’autant plus que la dame va se retirer des affaires musicales pour s’occuper de sa famille et qu’il faudra attendre 10 ans son inespéré come-back !

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Y

Y

Mark Stewart, à la tête de ce groupe au nom ironique, est au punk (et en plus extrême) ce qu’un Tim Buckley avait pu être au folk des années 60 : l’artiste qui cherche le dépassement en faisant exploser les cadres… Une musique avant-gardiste qui mêle free jazz, guitares funky, bruitages divers, arythmies et dissonnances. On peut rapprocher cela de la no wave de Lydia Lunch ou des débuts de Nick Cave. Le tout est doublé d’un engagement politique radical qui renvoie les Clash au rang de gentils poseurs !

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You're Never Alone With a Schizophrenic

You’re Never Alone With a Schizophrenic

Sans retrouver vraiment l’audience qu’il avec eu avec Mott The Hoople, Ian Hunter n’en est pas moins un artiste de référence des seventies. Parmi d’autres bons albums « You’re Never Alone » est son plus gros succès commercial. On peut retenir notamment le très bon hard « Bastard » avec John Cale en guest star.

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