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Take a Picture
Sorti en 68 dans l’indifférence générale, « Take a Picture » est le type même de l’album soft rock devenu culte 30 ans plus tard. Issue du jazz, la jeune Margo craque un beau jour sur « Pet Sounds » des Beach Boys. Là, sa vie va en être bouleversée. Elle s’oriente alors vers la pop et ses talents innés de songwriter l’amènent rapidement à créer la douzaine de chansons qui allait constituer l’essentiel de son album. Chroniqué par Fred Weber
Gun
Un album étonnant, expérimental, précurseur… Gun hasarde avec brio un hard rock à l’emphase symphonique dont Deep Purple fera son premier fond de commerce. « Race With the Devil » est un hit en Angleterre. Le trio Adrian et Paul Gurvitz (guitare et basse)/Louis Farrell (Batterie) ne va pas durer, mais les frères Gurvitz accèderont plus tard à la notoriété avec Ginger Baker (le groupe « Baker Gurvitz Army »).
Anthem of The Sun
« Anthem of The Sun » est un véritable monument du psychédélisme et de l’expérimentation « acid rock ». Le Dead joue en studio quasiment dans les conditions d’un live : le feeling et les substances illégales président aux ébats artistiques… Ce disque est aussi l’un des grands manifestes de la contre-culture californienne de l’époque.
The Cheerful Insanity of Giles, Giles & Fripp
Si l’on considère la suite de sa carrière (King Crimson et discographie solo), Robert Fripp apparaît plutôt comme un personnage très sérieux, voire austère. C’est pourtant sur le mode humoristique qu’il se fait d’abord connaître avec les frères Giles (Michael à la batterie, Peter à la Basse)… Jamais de scène et ce seul album étonnant, fantaisie pop originale et tranquillement délirante !
Tons of Sobs
Si Free n’atteindra jamais la gloire interstellaire de Led Zeppelin, le groupe dispose du même potentiel énorme avec le duo Paul Kossoff – Paul Rodgers (guitare/chant). Ce premier album, qui précède d’un an celui de Led Zeppelin est déterminant. Précurseur, le groupe apparaît alors (avec Cream) comme l’indispensable « chaînon manquant » entre le blues britanique et le hard rock qui va suivre.
Lady Soul
La reine de la soul music, l’une des plus grandes chanteuses nord américaine !… Des débuts cahotiques et puis, avec son passage chez Atlantic, elle bénéficie d’une meilleure production et sort des albums de très grande qualité. On note ici la présence d’Eric Clapton en invité de marque. « Chain Of Fools » qui ouvre cet album fait partie des premiers gros succès.
The Gilded Palace Of Sin
Les Flying Burrito, formés par les ex-Byrds Gram Parsons et Chris Hillman, sont la référence incontournable du country rock. Ce premier album est devenu un standard du genre. Le « groupe préféré » de Bob Dylan va jouir d’un succès d’estime, mais aura une influence considérable.
Peter Green’s Fleetwood Mac
Premier – et très bon – album d’une belle discographie… (et d’un groupe qui va devenir l’un des grands « dinosaures » du rock !). Peter Green (Guitare), John McVie (basse) et Mick Fleetwood (batterie) viennent de quitter les Bluesbreakers de John Mayall. Ils sont rejoints pas Jeremy Spencer (piano, guitare slide et chant).
Cauldron
Si Throbbing Gristle est l’ancêtre de la musique industrielle, Fifty Foot Hose est l’ancêtre de Throbbing Gristle !… « Cauldron » est un album à part, expérimental, souvent électronique (avec les moyens de l’époque), parfois jazzy ou flirtant avec la pop… Une originalité de la scène psyché californienne, à rapprocher de The United States of America. Inconnu du grand nombre, mais avec un carré de fans inconditionnels, Fifty Foot Hose (officiellement dissous en 1970) sera redécouvert dans les années 90.
Roots
L’immense succès des Everly Brothers s’est trouvé largement entamé au début des années 60 par l’arrivée des Beatles. Mais en 1968, ils signent avec « Roots » l’un des plus beaux albums de la première période du country rock.
A Long Time Comin
Electric Flag est un « super groupe » formé pour le Festival de Monterey autour, notamment, du fameux guitariste blues Mike Bloomfield et du batteur soul Buddy Miles… Un fabuleux potentiel, mais la vie du groupe sera très éphémère… dommage : cet « A Long Time Comin' », est un album époustouflant !
Ekseption
Avec le groupe hollandais Ekseption, Beethoven fait une entrée fracassante dans les hit parades européens de la fin des années 60 ! Le groupe se fait dès lors une spécialité des reprises et adaptation jazz-rock du même ordre. Sans être franchement convaincante, la démarche marque tout de même les esprits et, avec Keith Emerson (Nice, ELP) contribue à l’époque à susciter, côté rock, un intérêt pour la musique classique.
Streetnoise
Oeuvre ambitieuse et novatrice, ce double album poursuit la démarche expérimentale amorcée avec « Open », sans compromis avec les modes et courants de l’époque. Le duo n’en fait qu’à sa tête, opte pour le gospel (« Take Me to the Water »), le folk (« A Word About Colour »), propose une méconnaissable version du « Light My Fire » des Doors !… et cite magnifiquement, pour finir, leur jeune contemporaine Laura Nyro.
Gris-Gris
Dr. John n’est pas seulement l’un des plus grands excentriques de l’histoire (…du rock), c’est aussi un immense musicien. Multi-intrumentiste, auteur-compositeur, fameux chanteur, il débute sa carrière dans les années 50. Adepte d’une version très personnelle du Vaudou, il est également un accro du Mardi Gras (!)… ajoutez à cela quelques substances chimiques : vous obtenez Gris Gris, album majeur du psychédélisme !
Waiting For The Sun
Les albums des Doors se succèdent à grande vitesse. Difficile de dire que celui-ci est meilleur ou moins bon que les autres. Il est peut-être un peu plus jazzy (« Love street »). Il contient aussi quelques morceaux cérémonieux qui feront les grands moments des concerts, « Not to touch the earth » notamment (cf. Absolutely live).
Wheels Of Fire
L’ultime chef-d’oeuvre du groupe de légende, enregistré en partie live… Un double album où le trio trouve un équilibre subtil entre les tentations expérimentales et progressives de Bruce et le blues-rock des deux autres…
Together
Disque plein d’excentricités (comme les précédents en fait) et totalement psychédélique (on se croirait parfois dans le « Anthem of the Sun » du Grateful Dead !)… Country Joe, avec ses prises de positions radicales, jouit alors d’une immense popularité dans les milieux contestataires étudiants. Il va emporter une adhésion considérable à Woodstock, avec son « I Feel Like I’m Fixin’ to Die » !
The Songs of Leonard Cohen
En 1966, Leonard Cohen, poète écrivain frustré de ne pas pouvoir vivre de sa passion, décide de changer de vie. Lui qui a toujours chanté et joué de la guitare, envisage pour la première fois, à 32 ans, de composer des chansons pour gagner de l’argent. Il se rend à l’East Village de New York, et enregistre ce premier LP. Ses compositions, sa voix lugubre et ses arrangements réduits à leur plus simple expression font aussitôt mouche !
40 Blue Fingers, Freshly Packed and Ready to Serve
L’un des meilleurs représentants (et grand disque) du « blues boom » britanique. Le groupe compte alors dans ses rangs Christine Perfect qui épousera plus tard le bassiste John McVie et le rejoindra pour devenir la chanteuse de Fleetwood Mac (sous le nom de Christine McVie… ‘va sans dire !)
At Folsom Prison
Légende de la country, Johnny Cash, l’homme en noir, noue très tôt des rapports avec le rock (Carl Perkins, Dylan…). Dans son imposante discographie deux live dans les prisons ont fait date…. Avec un répertoire totalement adapté à l’endroit, Cash noue ici un étonnant rapport avec son public. Un live très live !
Caravan
Après avoir joué au sein d’un groupe nommé Wilde Flowers en compagnie des futurs membres de Soft Machine, Pye Hastings (guitare, basse, chant), Richard Coughlan (batterie), David Sinclair (orgue, chant) et Richard Sinclair (basse, guitare, chant) forment Caravan… Un premier album exceptionnel, géréralement considéré comme aussi novateur et inventif que le premier Pink Floyd !
Living the Blues
« Living the Blues » est l’un des premiers double album de l’histoire à grimper dans les classements, entrant à l’époque dans les 20 meilleures ventes aux USA. Il comprend l’hymne rural hippie « Going Up the Country », qui fera le tour de la planète grâce à l’album de Woodstock. Un live de 40 mn (coupé en deux par la force des choses sur le vinyle original) clos cet album qui accueille Dr. John (« Boogie Music ») et – originalité – l’anglais John Mayall (« Walking by Myself »).
Boogie with Canned Heat
La carrière de Canned Heat est marquée par ses passages dans les deux festivals mythiques, Monterey Pop et Woodstock. Elle l’est aussi par un hit planétaire énorme, « On the road again », le boogie sans doute le plus copié de toute l’histoire ! Le titre fait de ce second album, par ailleurs très bon, le succès le plus populaire du groupe.
Sweetheart of the Rodeo
« Sweetheart of the Rodeo » marque une étape dans l’évolution de la musique américaine. Ce n’est pas le premier album de country rock, Gram Parsons qui vient de rejoindre les Byrds a déjà enregistré des choses semblables. Mais pour la première fois un groupe majeur, et l’immense célébrité des Byrds, donnent une amplitude médiatique à ce genre typiquement américain. Sur le plan technique, l’album est tout simplement parfait. Tout ceci en fait donc un véritable jalon historique.