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Nazz
Formé en 67 à Philadelphia aux USA, séparé en 69, The Nazz est une sorte de réplique américaine des groupes anglais les plus en vogue : Who, Beatles, Cream… Si Todd Rundgren se distingue (à la guitare entre autre), le groupe ne réussira jamais à s’imposer vraiment. Reste trois albums excellents, et un brillant début de carrière pour Rundgren, qui s’affirmera plus tard comme l’un des plus fameux producteurs du rock.
Os Mutantes
Issus du mouvement « tropicaliste » au milieu des 60’s, tout comme Gilberto Gil et Gaetano Veloso, surgissent les Mutantes, trio pop art halluciné drivé par les frères Baptista et magnifié par la présence de la chanteuse Rita Lee, élégiaque figure du Brésil de l’époque… Resté underground de son temps, le groupe est depuis devenu une référence pour des gens comme David Byrne et surtout Kurt Cobain qui le citait comme un de ses groupes favoris. Chroniqué par Fred Weber
The Move
Move, habitué du célèbre Marquee Club de Londres, est une curiosité historique. Cet excellent groupe connaît, en effet, un succès considérable en Angleterre mais ne rencontre que peu d’écho dans le reste de l’Europe et passe totalement inaperçu aux USA. Influencé par les Beatles musicalement, par les Who scéniquement… il était peut-être décidément trop British ?!
Living with the Animals
Mother Earth, avec la chanteuse Tracy Nelson, fait partie des leaders de la contre-culture californienne de l’époque. C’est avant tout un groupe phare à ce niveau (un 2ème album au titre évocateur : « Revolution » !). Musicalement, on trouve ici une assez large palette de genres, du blues au folk, en passant par la soul (reprises des Neville ou Allan Toussaint).
Astral Weeks
A la façon d’un Dylan, d’un Lennon ou d’un Lou Reed, le leader des Them est une éminence incontournable du rock. Immensément respecté, il va tracer un parcours loin de toute médiatisation. Artiste profond, parfois difficile… Il livre avec « Astral Weeks » un essentiel des années 60, un album tranquille considéré comme l’un des plus importants de toute l’histoire du rock.
Black Monk Time
Les garage band des années 60 préfigurent évidemment le punk rock de la décénie suivante. Particulièrement nihilistes, les Monks (moines) ont d’autres singularités : ces cinq GI’s américains, basés en Allemagne, décident d’y rester après leur démobilisation. En accord avec leur nom, ils se produisent avec la robe de bure et la tonsure monastique. Ils disparaissent après leur premier album… mais à la suite de sa ré-édition à la fin des années 90, ils reprendront la soutane et la route avec succès !
Children of the Future
Le guitariste Steve Miller est un solide artiste à la carrière tranquille mais durable. A l’instar d’un John Mayall en Angleterre, son groupe va accueillir au fil des ans la fine fleur des musiciens du nouveau continent. Pour ce premier album, il s’invente avec une belle réussite artisan d’une fusion blues expérimentale.
Begin
L’album le plus coûteux chez Colombia à l’époque ! Curt Boettcher, architecte historique du son sunshine pop, réunit la fine fleur des musiciens et chanteurs et part à la conquête d’inaccessibles sommets harmoniques. Le projet est du même ordre que Sagittarius (auquel Boettcher participe). On peut trouver le résultat moins féérique que le fameux « Present Tense », mais la qualité de production est impressionnante, à faire mourir de jalousie un Brian Wilson !
Expressway to Your Skull
Célèbre pour ses collaborations avec Mike Bloomfield (Electric Flag), Jimi Hendrix (The Band of Gypsy) ou Santana (dont il sera le chanteur officiel à la fin des années 80), Buddy Miles a aussi à son actif une volée d’albums solos de grande qualité. « Expressway to Your Skull » esquisse la formule psyché-funk qui trouvera son plein aboutissement deux ans plus tard dans le célèbre « Them Changes ».
Blues From Laurel Canyon
Mayall se laisse tenter par l’esprit d’expérimentation sonore de l’époque. Il ne s’éloigne pas du blues pourtant (même si les puristes le lui reprocheront). Mike Taylor (futur Rolling Stones) tient désormais la guitare. Tout cela donne un album original et très réussi, l’un des meilleurs de la première période des Blues Breakers.
Up the Junction
Avec cette très grande bande originale de film, Manfred Mann confirme une orientation vers la musique progressive et le jazz, orientation qui va s’amplifier encore avec l’expérience « Chapter Three » (avec des changements de musiciens, Chapter III deviendra alors quasiment le nouveau nom du groupe). La chanson titre de cet album est parfois considérée comme le « Good Vibrations » britanique… carrément !
The Natch’l Blues
Une jaquette célèbre pour un grand classique du blues… Taj Mahal réalise ici l’album parfait dans son genre. Un peu paradoxal, il se rapproche, plus que jamais peut-être, des sources « delta blues » (la musique du sud du fleuve Mississipi) en mêlant les guitares acoustiques aux instruments électriques. Et, d’un autre côté, il trouve un complice de marque en invitant Al Kooper à tenir les parties de claviers.
Taj Mahal
Naissance d’un géant du blues moderne américain !… Taj Mahal est un proche de Ry Cooder, avec lequel il monte un groupe dès 1964. Pour son premier album solo, il opte pour un blues pur et proche de la tradition en reprenant surtout des standards… Une fameuse version de « Statesboro Blues » qui donna sans doute quelques idées à Duane Allman !
Blues Helping
« Blues Helping » est un excellent album de « covers ». mais Love Sculpture serait sans doute resté dans l’histoire comme un groupe de british blues parmi d’autres (et surtout tardif) si le trio n’avait compté dans ses rangs le guitariste-chanteur Dave Edmunds. Le gallois se forgera plus tard la réputation de meilleur producteur rock-n-roll de Grande Bretagne (son travail avec les Flamin’ Groovies, Brinsley Schwarz, Duks Deluxe, Stray Cats…). Ses enregistrements personnels feront aussi grand bruit, notamment avec le légendaire Rockpile de 1980.
I Stand Alone
Premier album solo et premier chef d’oeuvre de l’ex-organiste de Dylan, ex-Blues Project, ex-Blood Sweat & Tears… « I Stand Alone » est non seulement une merveille Pop mais également une espèce de collage fascinant, comme si Zappa et les Beatles avaient décidé de faire un disque ensemble. En plus, il contient une version de « One » de Harry Nilsson, l’une des plus belles chansons du monde.
The Village Green Preservation Society
Album concept, « The village green », est considéré comme l’une des oeuvres majeures des Kinks… Le son de l’album a plutôt mal vieilli… mais garde justement le très agréable charme désuet des sixties !
Kangaroo
Formé en 1968 par Barabara Keith, l’une des meilleures chanteuses américaines de l’époque, et le batteur-chanteur N.D. Smart, Kangaroo laisse a l’histoire cet unique album avant de se séparer. Un potentiel énorme et un style qui va du folk à la pop psychédélique (Byrds, Lovin’ Spoonful, Beatles)… Barabara Keith entamera juste après une (toute aussi brève) carrière solo, et Smart sera le premier batteur de Mountain.
This Was
Le premier Jethro Tull atteste d’influences multiples le blues essentiellement, grâce au guitariste Mick Abrahams, mais également le jazz, la musique folklorique… La voix particulière du leader Ian Anderson et sa flûte omniprésente donne une couleur très originale à ce groupe qui va prendre une place considérable entre rock, folk et musique progressive.
Crown of Creation
Moins illustre que certains autres albums : moins expérimental que « After Bathing at Baxter’s », moins explosif – malgré sa jaquette ! – que « Volunteers », « Crown of Creation » est pourtant une splendide réussite. L’Airplane marque une pause en revenant à un folk rock plus conventionnel, plus acoustique. Le groupe ne perd cependant rien de sa popularité et l’album entre rapidement dans le top ten des ventes aux USA.
Crimson & Clover
Entre 1966 et 1969, Tommy James and the Shondells sont les hôtes permanents des charts américains. Véritable institution pop outre-Atlantique, ils sont évidemment marqués par le psychédélisme ambiant et signent avec « Crimson & Clover » l’un des tubes les plus mémorables de cette époque. Le groupe disparaît au début des années 70 et Tommy James poursuit depuis une discrète carrière solo.
In-A-Gadda-Da-Vida
Dans l’histoire, le « papillon d’acier » restera essentiellement le groupe de cet album et même de son morceau titre, qui occupait toute la face B de la galette vinyl. Parfois proche du King Crimson de l’époque avec ses réminicences classiques, Iron Butterfly initiait aussi le hard rock avec ses déferlements sonores et sa froideur métalique générale. « In-A-Gadda-Da-Vida », le morceau, avec son légendaire solo de batterie, reste un monument (historique ?!).
C’est l’un des grands albums classiques des années 60. Parfait pour tout fan de rock psyc. Les chansons sont tellement intemporelles qu’elles pourraient être interprétées aujourd’hui et la musique serait toujours aussi fraîche et excitante qu’elle l’était lorsque ces chansons ont été enregistrées.
The Hangman’s Beautiful Daughter
Tandis que Donovan popularise au niveau mondial le folk britanique, The Incredible String devient l’une des grandes références de la musique celtique progressive. Ils vont marquer la fin des années 60… Avec cet album tout en finesse, au ton écologique, l’Ecosse devient une proche province de la Californie, et les chansons de « The Hangman » deviennent des standards folk des communautés hippies.
This Is My Country
Le trio « Impressions » s’est imposé comme le fleuron de la soul de Chicago. Curtis Mayfield va devenir un leader des revendications noires… ici son propos reste, pour l’essentiel, la chanson d’amour. « This Is My Country » est l’une des belles réussites du groupe.
Electric Ladyland
Le meilleur album rock de tous les temps (encore un !!!). Mais il est vrai que si l’on replace ce double dans le contexte de l’époque, Hendrix était vraiment d’une autre planète ! Paradoxalement (pour un extra-terrestre) il fait parler, gémir, crier sa guitare comme si elle était humaine. Elle est plus que jamais prolongement de lui-même. La maîtrise sonore est absolue. Hendrix trouve ici le parfait équilibre entre la musicalité du 1er album et les expérimentations du second.