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Between the Buttons
« Between The Buttons » est un album à part dans la discographie des Rolling Stones, le virage psychédélique qui amènera « Their Satanic Majesties ». La marque de Brian Jones sur les arrangements est très forte. L’ensemble est très (trop ?) éclectique, on sent les Stones qui se cherchent, influencés par le style des Kinks, des Beatles, voire de Bob Dylan…. Quelques perles éternelles pourtant : « Let’s Spend The Night Together », « Ruby Tuesday » !
Their Satanic Majesties Request
L’album le plus contesté par les fans. Il aurait pu s’agir d’un clin d’oeil aux frères ennemis (et néanmoins très bons copains) les Beatles, mais en fait les Stones sont totalement sous influence (certains passages rappellent le premier Pink Floyd, sorti la même année). Ils livrent donc « leur » album psychédélique. L’ennui est parfois au rendez-vous, mais il y a tout de même là-dedans de bien jolies choses, « She’s a rainbow » notamment.
John Lee Hooker
Rien de révolutionnaire dans cet album, juste de bon morceaux magnifiquement interprétés. Une formation rock de base, la voix parfaite de Johnny Rivers, l’ambiance chaude d’un club américain… cela suffit à faire de ce live un document dont on ne se lasse pas… inusable comme le bon vieux rock de là-bas !
Rainbow in Curved Air
Né en 1935, Terry Riley va devenir l’une des éminences de la musique expérimentale contemporaine d’après-guerre. Spécialiste du minimalisme et des boucles électroniques, il influence les débuts de Soft Machine, les groupes allemands des années 70, et le rock bien au delà… Les Who lui rendent hommage, sous forme de clin d’oeil, en plagiant son travail pour l’intro du fameux « Baba O’Riley » de « Who’s Next ».
King And Queen
Un remarquable duo… le dernier album studio pour Otis Redding. Le 10 décembre de cette même année, son avion s’écrase, tuant avec lui plusieurs de ses musiciens. Quelques jours avant cela, il enregistre ce qui sera l’un de ses plus gros succès (postume) « Sittin’ On The Dock Of The Bay » (repris en français par Bill Deraime : « Assis sur le bord de la route »).
Procol Harum
Si le contenu de la production du groupe deviendra plus tard très « chanson », Procol Harum s’inscrit dans les précurseurs du rock progressif avec ses fréquentes références à la musique classique et ses compositions aux accents majestueux. La carrière du groupe sera très largement écrasée par le succès phénoménal de « A Whiter Shade of Pale », sorti quelques mois plus tôt, et qui ne figurait pas sur l’édition originale de cet album.
The Piper At The Gates Of Dawn
Un album tendance science-fiction, oeuvre du génie fou Syd Barrett ; « fou » au sens propre, malheureusement, puisque le premier leader du groupe devra bientôt quitter le vaisseau (spacial ?!) pour passer une bonne partie de son temps dans les hopitaux psychéatriques. Reste cet album exceptionnel (précédé par deux singles fabuleux : « See Emily Play » et « Arnold Layne ») et le début d’un groupe à l’influence majeure.
1967: The First Three Singles
Cette section concerne les trois premiers singles sortis par Pink Floyd.
Ce fut une période de grand changement pour le groupe. Ils sont passés d’un groupe populaire qui jouait des reprises pop et de la musique « facile à digérer » à un groupe qui expérimentait le son et défiait les auditeurs avec leur nouveau style.
Sorti en 1997, ce mini CD contient les 3 premières chansons de chacun des deux 45 tours. Il tire son nom de sa capacité à collecter les trois premiers disques 45 tours (face A et face B).
Il comprend les indispensables « Arnold Layne » et « See Emily Play », mais « Candy And A Currant Bun » et « Apples and Oranges ».
The Wicked Pickett
Wilson Pickett au sommet de son art !… Un album remarquablement produit, et de nouveaux titres qui feront date : « Mustang Sally », « Sunny » et le fameux « Everybody Needs Somebody to Love » qui cartonnera à nouveau dans les années 80 avec sa reprise par les Blues Brothers !
Pleasures of the Harbor
Phil Ochs, que l’on croyait indéfectiblement lié à la forme la plus minimaliste du folk, surprend tout le monde en 67 avec la publication d’un splendide album de pop symphonique richement orchestré, parfois jazzy, et des titres qui dépassent les 8 mn !… Une tonalité mélancolique et un discours social moins direct, à chercher dans les illustrations subjectives.
Pandemonium Shadow Show
Tandis qu’il est employé de banque à Los Angeles, Harry Nilsson commence, à temps perdu, à écrire des chansons. Il rencontre Phil Spector et compose avec lui. Plusieurs de ses titres sont alors repris par des artistes de renom (Ronettes, Yardbirds, Blood Sweat & Tears…). Lorsque « Cuddly Toy », enregistré par les Monkees, devient un tube, il se décide enfin à quitter son job et à enregistrer pour lui…
Chelsea Girl
C’est Christa Paffgen alias Nico rebaptisée à cause d’un amant français et poète au tout début des 60’s. Nico, mannequin de prestige telle qu’on la voit dans la Dolce Vita de Fellini, juste avant le single sur Immediate « I’m not sayin » et la B side « Last mile » écrite, produite et jouée par Jimmy Page et l’amant de passage Brian Jones. Encore très loin du caractère austère et désolé de « Marble Index » et « Desertshore », les albums de la dérive. Chroniqué par Fred Weber
The Thoughts of Emerlist Davjack
Malgré ses imperfections et son manque d’homogénéité, Le premier album de Nice marque certainement le point de départ du rock progressif (avec le fameux « Days Of Future Passed » des Moody Blues paru la même année). A sa sortie cette première offensive de Keith Emerson ne ressemble à rien de connu. « The Thoughts of Emerlist Davjack » est écartelé entre des mélodies pop, le classiscime d’Emerson et les véléités de Davy O’List, guitariste influencé par Jimi Hendrix, qui quittera le groupe l’année suivante…
Fred Neil
Cet album éponyme de 1967 est probablement le meilleur de Fred Neil. Il contient deux de ses titres les plus fameux « The Dolphins » et « Everybody’s Talkin' ». Cette dernière chanson fait le tour de la planète lorsqu’Harry Nilsson la reprend l’année suivante. Mais curieusement Fred Neil se laisse doucement glisser dans l’anonymat à partir de 1968, limitant son activité à quelques concerts pour ses proches… jusqu’à sa disparition en 2001 des suites d’un cancer.
Days Of Future Passed
L’une des premières expériences probantes de rapprochement entre le rock et la musique classique. Les Moody Blues, en panne d’orientation à la suite de plusieurs changements de personnel, s’étaient vus proposer par leur label d’enregistrer avec grand orchestre une démo pour un nouveau procédé de stéréophonie… Cela débouchera sur cet album aux accents grandioses, le style deviendra dès lors leur marque de fabrique… et « Nights in white satin » l’un des plus gros tubes de tous les temps !
Headquarters
Ça ressemble aux Beach Boys, ça ressemble aux Beatles (c’est fait pour), mais c’est si bien fait et les Monkees font un effort évident pour prendre en main leur destin artistique… En cette année 67, ils apportent à l’histoire un contribution non négligeable : au retour d’une tournée triomphale en Angleterre, ils ramènenent de Londres aux USA, dans leurs bagages, un certain… Jimi Hendrix !
Moby Grape
Moby Grape, injustement oublié, est peut-être en 1967 la meilleure formation de la scène californienne. Mais c’est Le Grateful Dead ou le Jefferson Airplane – à la durée de vie il est vrai plus longue – dont l’histoire retiendra les noms. Ce premier album est un chef-d’oeuvre absolu de folk-rock psychédélique. Une référence avouée pour Tom Waits, Beck, et même Led Zeppelin !
Voice of Scott McKenzie
Au chapître des artistes archi-connus pour une seule chanson (ou moins connus que cette chanson), Scott McKenzie décroche certainement la timbale avec « San Francisco », ode au Flower Power californien, écrit pour lui par John Philips des Mama’s and Papa’s. Un premier album pourtant très bon avec des reprises intéressantes de Tim Hardin, Donovan et Lovin’ Spoonful.
A Hard Road
John Mayall et son british blues désormais classique… Un album composé de chansons courtes de très bones qualité. L’événement est constitué par l’arrivée de Peter Green comme lead guitar.
Forever Changes
Sans avoir fait un véritable « carton » à sa sortie, cet album est devenu avec le temps un grand classique, très régulièrement cité comme l’un des grands moments de l’histoire du rock. Il faut dire que rien n’est tape à l’oeil ici, tout est subtilité discrète… un génie musical qui se révèle au fil des écoutes : allez, disons… à la deuxième !
Da Capo
Pour la petite histoire : premier album à proposer un morceau occupant une face entière du disque vinyl !… Mais, bien au delà de l’anecdotique, Love, mené par son fantasque leader Arthur Lee est un incontournable monument de la scène californienne. Le groupe va marquer l’histoire avec deux albums d’antholgie en 1967, dont ce « Da Capo ».
Something Else
L’excellent « Waterloo Sunset » (la chanson préférée de Ray Davies) marque cet album. A la différence des Who, Beatles ou Rolling Stones, la popularité des Kinks va s’estomper… Peut-être proposaient-il trop tôt « Quelque chose d’autre » ?! car l’influence du groupe va se révéler considérable sur le punk rock des années 70 (Jam) et la brit-pop des années 90 (Blur).
Something Else by The Kinks, souvent appelé simplement Something Else, est le cinquième album studio britannique du groupe de rock anglais The Kinks, sorti en septembre 1967. L’album marque la dernière participation du producteur américain Shel Talmy aux enregistrements studio des Kinks dans les années 1960 ; désormais, Ray Davies se chargera de la production des enregistrements.
Born Under a Bad Sign
. Sorti sous le label Stax en 1967, l’album est conçu avec l’aide de musiciens tout aussi exceptionnels que Isaac Hayes, Booker T et Steve Cropper. Hormis le titre phare, « Born Under a Bad Sign », Albert King se montre éclectique à travers des chansons à tendances Funky « The Hunter » et laisse transparaître sa voix de crooner comme sur « I almost lost my mind »… Un incontournable du Blues !… Chroniqué par Pierre-André Bague
After Bathing At Baxter’s
« after bathing at baxter’s » n’est pas une sorte de symphonie rock. L’album se présente comme une sorte de suite et s’écoute d’une traite. C’est un disque à tiroirs, mais avec de l’acide lysergique sans fond qui coule dans les veines du groupe. « After Bathing At Baxter’s » n’est pas une sorte de symphonie rock. C’est un disque à tiroirs.
Après avoir triomphé au Festival de Monterey et surtout grâce à leur « Surrealistic Pillow » sortit quelques mois auparavant, l’Airplane devient le groupe phare de San Francisco. Le monde entier attend avec impatiente le prochain voyage : ce sera celui d’After Bathing at Baxter’s… album de légende pour une époque de légende…!