british blues
Le British Blues est un type de musique influencé par le blues américain. Ce type de musique a été influencé par de nombreux genres différents. Cela inclut le country, le rock, le gospel et le folk. Le style de ce genre de chanson est généralement doux mais puissant à la fois.
Il est facile de danser et de chanter avec. Ce type de musique est populaire depuis des années en Grande-Bretagne. Il est également très populaire aux États-Unis. Il existe de nombreux artistes britanniques qui sont devenus célèbres dans le monde entier. Ils comprennent : Eric Clapton (le guitariste de George Harrison), Status Quo, Rickie Lee Jones, The Moody Blues, The Small Faces, Spinal Tap, Status Quo et les Rolling Stones. Ces artistes ont influencé de nombreux musiciens ici aux États-Unis.Parmi ces groupes, on compte : The Allman Brothers Band, Lynyrd Skynyrd, Led Zeppelin, The Eagles, Cream, Foreigner, Journey, Def Leppard, Poison, Bon Jovi, et une tonne d’autres groupes célèbres.

The Sound of 65
Un peu oublié, l’organiste-saxophoniste Graham Bond fait partie des pionniers du british blues, comme John Mayall, Long John Baldry ou Alexis Korner. C’est dans l’entourage de ce dernier qu’il fait la connaissance de Jack Bruce et Ginger Baker, qui rejoignent bientôt son groupe. « The Sound of 65 » et le suivant « There’s a Bond Between Us », aux accents parfois jazz et rhythm-n-blues, font partie des très bons disques de l’année.

Blues Helping
« Blues Helping » est un excellent album de « covers ». mais Love Sculpture serait sans doute resté dans l’histoire comme un groupe de british blues parmi d’autres (et surtout tardif) si le trio n’avait compté dans ses rangs le guitariste-chanteur Dave Edmunds. Le gallois se forgera plus tard la réputation de meilleur producteur rock-n-roll de Grande Bretagne (son travail avec les Flamin’ Groovies, Brinsley Schwarz, Duks Deluxe, Stray Cats…). Ses enregistrements personnels feront aussi grand bruit, notamment avec le légendaire Rockpile de 1980.

A Space In Time
« A Space In Time » pourrait être l’album de la maturité pour Ten Years After. Alvin Lee y troque facilement son habituelle Gibson contre une guitare acoustique pour des ballades étonnament folk ou country (« I’d love to change the world », « Over the hill »…). Le groupe montre simplement qu’il a une palette plus riche qu’on ne l’imaginait.

Out of Our Heads
Les Rolling Stones, soignant leur image de « mauvais garçons », connaissent un succès croissant des deux côtés de l’Atlantique. Le répertoire comprend encore beaucoup de reprises rhythm-n-blues et blues, mais l’interprétation est remarquable et le style s’affine. Ils commencent aussi à enregistrer leurs propres titres, et signent avec « Satisfaction » l’une des chansons les plus emblématiques de toute l’histoire du rock !

Blues From Laurel Canyon
Mayall se laisse tenter par l’esprit d’expérimentation sonore de l’époque. Il ne s’éloigne pas du blues pourtant (même si les puristes le lui reprocheront). Mike Taylor (futur Rolling Stones) tient désormais la guitare. Tout cela donne un album original et très réussi, l’un des meilleurs de la première période des Blues Breakers.

Made in Japan
Si la discographie de Deep Purple est impressionnante, le groupe a surtout marqué avec une petite poignée d’albums du début des années 70 (globalement jusqu’au départ de son chanteur Ian Gillan). Ce fameux « Made in Japan » – live d’anthologie s’il en est ! – est le couronnement de cette fabuleuse époque et de la période du Deep Purp mythique.

The Best of (Compil. 1965 – 1969)
Le groupe composé de Spencer Davis (guitare, chant) Steve Winwood (claviers, chant), son frère Muff (basse), et de Peter York (batterie) est un pionnier historique du rock anglais. Stevie Winwood, qui débute à l’âge de 16 ans (!), signe quelques titres marquants comme « I am a man », « Gimme Some Lovin' » ou « Keep On Running ».

Stonedhenge
Alvin Lee avait la réputation de n’être qu’un guitariste virtuose, éblouissant par la seule rapidité de ses solos (cf. « I’m going home », par exemple). La discographie de Ten Years After affiche pourtant beaucoup de feeling. Profondément, et très généralement, empreint de blues, le groupe se révèle ici également très jazzy.

Live in Europe
Moins prestigieux peut-être que son « Irish Tour » (immortalisé par le film de Tony Palmer), ce « Live in Europe » reste comme un grand moment de blues électrique. Son attachement au valeurs traditionnelles du genre n’empêche pas Gallagher de retrouver parfois quelques accents irlandais ou country, ni de faire chauffer à l’occasion la mandoline ! (« Going to My Home Town »)

Them
Dignes émules des Rolling Stones, Them fait partie de la mythologie héroïque du rock. Si leur plus gros tube, « Gloria », est légendaire, le groupe de Van Morrison est aussi un incontournable monument des sixties. Leurs disques sont pratiquement introuvables : il faut pour l’essentiel se rabattre sur les compilations…

Beck-Ola
Jeff Beck, Rod Stewart et Ron Wood, sont rejoints sur cet album époustouflant par le fameux Nicky Hopkins, pianiste emminent et légendaire des studios anglais. Jeff Beck est au sommet de sa forme avec son incomparable phrasé, plein de surprise et ravageur… un très grand disque !

Rock & Roll Music to the World
Considéré par certains comme un grand sommet, « Rock & Roll Music to the World » est également controversé. D’autres, en effet, trouvent cet album affadit par rapport aux productions précédentes. De fait, le groupe passe évidemment par un moment de lassitude à l’époque et les mésententes sur l’orientation artistique à prendre (Alvin Lee est attiré par la soul) entraîneront sa dissolution peu de temps après.