british blues
Le British Blues est un type de musique influencé par le blues américain. Ce type de musique a été influencé par de nombreux genres différents. Cela inclut le country, le rock, le gospel et le folk. Le style de ce genre de chanson est généralement doux mais puissant à la fois.
Il est facile de danser et de chanter avec. Ce type de musique est populaire depuis des années en Grande-Bretagne. Il est également très populaire aux États-Unis. Il existe de nombreux artistes britanniques qui sont devenus célèbres dans le monde entier. Ils comprennent : Eric Clapton (le guitariste de George Harrison), Status Quo, Rickie Lee Jones, The Moody Blues, The Small Faces, Spinal Tap, Status Quo et les Rolling Stones. Ces artistes ont influencé de nombreux musiciens ici aux États-Unis.Parmi ces groupes, on compte : The Allman Brothers Band, Lynyrd Skynyrd, Led Zeppelin, The Eagles, Cream, Foreigner, Journey, Def Leppard, Poison, Bon Jovi, et une tonne d’autres groupes célèbres.

Animal Tracks
Avec leur matériel essentiellement composé de reprises, les Animals incarnent peut-être mieux que tout autre la transition entre les pionniers du blues, du rock-n-roll et du rhythm-n-blues, et le rock des années soixante. Le caractère sauvage du groupe et l’étonnante maturité de la voix d’Eric Burdon font sensation. Mais une querelle sur les droits d’adaptation de « The House of the Raising Sun », uniquement attribués à Alan Price, entraîne le départ de ce dernier.

Peter Green’s Fleetwood Mac
Premier – et très bon – album d’une belle discographie… (et d’un groupe qui va devenir l’un des grands « dinosaures » du rock !). Peter Green (Guitare), John McVie (basse) et Mick Fleetwood (batterie) viennent de quitter les Bluesbreakers de John Mayall. Ils sont rejoints pas Jeremy Spencer (piano, guitare slide et chant).

Watt
Un son très brut de décoffrage, pas du tout lêché, caractérise cet album tout juste sauvé par quelques titres : « My baby left me » ou « Think about the time ». Pris par les tournées, le groupe semble à court d’inspiration et la reprise de « Sweet Little Sixteen », enregistrée au festival de Wight, vient complèter un matériel assez limité.

The Sound of 65
Un peu oublié, l’organiste-saxophoniste Graham Bond fait partie des pionniers du british blues, comme John Mayall, Long John Baldry ou Alexis Korner. C’est dans l’entourage de ce dernier qu’il fait la connaissance de Jack Bruce et Ginger Baker, qui rejoignent bientôt son groupe. « The Sound of 65 » et le suivant « There’s a Bond Between Us », aux accents parfois jazz et rhythm-n-blues, font partie des très bons disques de l’année.

Blues Helping
« Blues Helping » est un excellent album de « covers ». mais Love Sculpture serait sans doute resté dans l’histoire comme un groupe de british blues parmi d’autres (et surtout tardif) si le trio n’avait compté dans ses rangs le guitariste-chanteur Dave Edmunds. Le gallois se forgera plus tard la réputation de meilleur producteur rock-n-roll de Grande Bretagne (son travail avec les Flamin’ Groovies, Brinsley Schwarz, Duks Deluxe, Stray Cats…). Ses enregistrements personnels feront aussi grand bruit, notamment avec le légendaire Rockpile de 1980.

A Space In Time
« A Space In Time » pourrait être l’album de la maturité pour Ten Years After. Alvin Lee y troque facilement son habituelle Gibson contre une guitare acoustique pour des ballades étonnament folk ou country (« I’d love to change the world », « Over the hill »…). Le groupe montre simplement qu’il a une palette plus riche qu’on ne l’imaginait.

Out of Our Heads
Les Rolling Stones, soignant leur image de « mauvais garçons », connaissent un succès croissant des deux côtés de l’Atlantique. Le répertoire comprend encore beaucoup de reprises rhythm-n-blues et blues, mais l’interprétation est remarquable et le style s’affine. Ils commencent aussi à enregistrer leurs propres titres, et signent avec « Satisfaction » l’une des chansons les plus emblématiques de toute l’histoire du rock !

Blues From Laurel Canyon
Mayall se laisse tenter par l’esprit d’expérimentation sonore de l’époque. Il ne s’éloigne pas du blues pourtant (même si les puristes le lui reprocheront). Mike Taylor (futur Rolling Stones) tient désormais la guitare. Tout cela donne un album original et très réussi, l’un des meilleurs de la première période des Blues Breakers.

Made in Japan
Si la discographie de Deep Purple est impressionnante, le groupe a surtout marqué avec une petite poignée d’albums du début des années 70 (globalement jusqu’au départ de son chanteur Ian Gillan). Ce fameux « Made in Japan » – live d’anthologie s’il en est ! – est le couronnement de cette fabuleuse époque et de la période du Deep Purp mythique.

The Best of (Compil. 1965 – 1969)
Le groupe composé de Spencer Davis (guitare, chant) Steve Winwood (claviers, chant), son frère Muff (basse), et de Peter York (batterie) est un pionnier historique du rock anglais. Stevie Winwood, qui débute à l’âge de 16 ans (!), signe quelques titres marquants comme « I am a man », « Gimme Some Lovin' » ou « Keep On Running ».

Stonedhenge
Alvin Lee avait la réputation de n’être qu’un guitariste virtuose, éblouissant par la seule rapidité de ses solos (cf. « I’m going home », par exemple). La discographie de Ten Years After affiche pourtant beaucoup de feeling. Profondément, et très généralement, empreint de blues, le groupe se révèle ici également très jazzy.

Live in Europe
Moins prestigieux peut-être que son « Irish Tour » (immortalisé par le film de Tony Palmer), ce « Live in Europe » reste comme un grand moment de blues électrique. Son attachement au valeurs traditionnelles du genre n’empêche pas Gallagher de retrouver parfois quelques accents irlandais ou country, ni de faire chauffer à l’occasion la mandoline ! (« Going to My Home Town »)