rock/pop rock
Very generalist expression that can relate to all kinds of music developed as a result of rock’n’roll.
However, this is particularly aimed at a constructed, melodic and catchy style, and albums with careful production.
10,000 MANIACS
Comme pour de nombreux groupes, 10 000 Maniacs change souvent de composition. Le groupe, qui s’est formé en 1981 à New Brunswick, dans le New Jersey, est actif depuis lors avec divers changements de personnel. Son membre le plus connu est sans doute Natalie Merchant, qui a quitté le groupe en 1993 pour poursuivre une carrière solo. Le groupe s’est séparé en 1996, et s’est depuis reformé deux fois.
10,000 Maniacs a sorti 13 albums studio et deux albums live. Leur single le plus populaire est « Maniac » (tiré de leur troisième album, Bigger), qui a atteint le 19e rang du Billboard Hot 100 en juin 1986. D’autres chansons populaires incluent « Broken Hearted People », « Hold On », « All I Want Is Everything », « The Middle », « I’m Not That Guy » et « One Headlight ».
Fondé en 1981 par Dennis Drew, Steven Gustafson et Rob Buck. Le groupe est composé de la chanteuse Natalie Merchant ainsi que de John Lombardo, Robert Buck, Jerry Augustyniak, Joe Gustafson, Suzanne Lewis et Rob Miller.
Le groupe est connu pour son style éclectique qui englobe une variété de genres différents tels que le folk rock et le pop rock. Ils sont également populaires pour leurs performances à haute énergie qui ont été décrites par le magazine Rolling Stone comme « des assauts frontaux complets contre les sens.
It’s the Searchers
Les Searchers, originaires de Liverpool comme les Beatles, sont, après ceux-ci, parmi les plus gros vendeurs de disques jusqu’en 1965. Spécialisés dans la reprise de succès américains, ils affichent de remarquables qualités d’instrumentistes et de brillantes harmonies vocales… Une longévité exceptionnelle : aux dernières nouvelles, le groupe existe encore aujourd’hui !
Surfer Girl
Avec déjà toute une série de singles et plusieurs albums derrière eux, où ils adaptent le rock-n-roll à la culture blanche californienne, les Beach Boys sortent une première pièce significative. Avec la perfection vocale qui les caractérise, ils affirment leur style (« Little Deuce Coupe ») et deviennent maîtres de la mélodie mélancolique (« Surfer Girl », « In My Room »).
If You Can Believe Your Eyes and Ears
A l’aube du flower power, « The Mama’s And The Papa’s » est l’un des plus fameux représentants de l’idéalisme lié à la contre-culture ambiante sur la West Coast. Un premier album d’une candeur et d’une fraîcheur totalement désarmantes, et deux énormes tubes « Monday Monday »… et surtout le fameux « California Dreamin' » !
Strange Days
Un album de la même veine que le précédent, c’est à dire tout à fait bon… rien à jeter ! Jim Morrison préside et installe le « strange » avec la plus grande maestria et le support absolument sans faille du reste du groupe.
Between the Buttons
« Between The Buttons » est un album à part dans la discographie des Rolling Stones, le virage psychédélique qui amènera « Their Satanic Majesties ». La marque de Brian Jones sur les arrangements est très forte. L’ensemble est très (trop ?) éclectique, on sent les Stones qui se cherchent, influencés par le style des Kinks, des Beatles, voire de Bob Dylan…. Quelques perles éternelles pourtant : « Let’s Spend The Night Together », « Ruby Tuesday » !
Electric Ladyland
Le meilleur album rock de tous les temps (encore un !!!). Mais il est vrai que si l’on replace ce double dans le contexte de l’époque, Hendrix était vraiment d’une autre planète ! Paradoxalement (pour un extra-terrestre) il fait parler, gémir, crier sa guitare comme si elle était humaine. Elle est plus que jamais prolongement de lui-même. La maîtrise sonore est absolue. Hendrix trouve ici le parfait équilibre entre la musicalité du 1er album et les expérimentations du second.
Once Upon a Dream
Un son limpide, caractéristique des années 60… les « Jeunes Voyoux », devenus les « Voyoux » tout court (!) laissent dans les anales avec cet album (et « Freedom Suite » qui suivra) un moment essentiel de la pop-soul blanche jazzy des sixties. Le groupe se séparera en 1972.
Joe Cocker!
Le second album de Joe Cocker est tout aussi exceptionnel que le premier et les deux comptent ensemble parmi les grands moments du rock de la fin des années 60… C’est incontestablement l’âge d’or de l’artiste. Malheureusement, stress, alcool et drogues vont avoir raison de lui, le faire sombrer après la tournée « Mad Dogs » et le tenir pour quelques années bien en dessous de son formidable potentiel.
Santana
A grand renfort de percussions diverses, Carlos Santana sera le maître de la fusion en tout genre (jazz, blues, latino). Ce premier album, réussi, contient notamment « Soul sacrifice », le titre enregistré sur l’album du festival de Woodstock et qui va lui assurer brusquement une notorité planétaire que le temps n’entamera pas.
The Man Who Sold the World
L’idée communément admise est que David Bowie est une sorte de caméléon musical… caméléon de génie qui va, avec une rare intelligence, se glisser dans l’air du temps, accompagner les modes, pour finalement devenir un personnage central de la décénie. Après avoir été mod, puis songwriter hippie, il se ré-invente au début des années 70 en rock star androgyne et décadente.
Elton John
Capable de composer et de jouer dans tous les styles, Elton John va devenir, en terme de ventes, la plus énorme pop star des années 70. Il entame une collaboration avec son fidèle parolier Bernie Taupin (rencontré sur petite annonce). « Your Song » est son premier hit majeur. John Lennon, qui va devenir très ami avec lui, ironise à l’époque « Génial ! C’est la première fois qu’il se passe quelque chose depuis les Beatles » !!