hard rock
The « hard rock » is essentially from blues-rock, it is distinguished in particular by its burning riffs and its saturated guitars.
Among the great precursors we find, in England, the Rolling Stones, Cream and the Who, in the United States, Steppenwolf or Cactus. But the real archetype will be offered at the end of the 60s by Led Zeppelin, Deep Purple and Black Sabbath.
Little Games
Lorsque Jimmy Page rejoint les Yardbirds, le groupe est nettement sur le déclin. Page qui avait, tout d’abord, été engagé comme bassiste prend finalement la guitare. C’est une période troublée. Le jeu brillant du futur fondateur de Led Zepplin n’y changera rien. Le groupe va bientôt se dissoudre.
Beck-Ola
Jeff Beck, Rod Stewart et Ron Wood, sont rejoints sur cet album époustouflant par le fameux Nicky Hopkins, pianiste emminent et légendaire des studios anglais. Jeff Beck est au sommet de sa forme avec son incomparable phrasé, plein de surprise et ravageur… un très grand disque !
The Stooges
Originaire de Detroit, comme MC5, les Stooges moins politisés, mais sans doute plus violents encore, appartiennent à la même mythologie et vont devenir le groupe culte que l’on sait. Ce premier album, peut-être le meilleur, est produit par John Cale (Velvet Underground).
American Woman
« American Woman » est le plus gros succès commercial des Guess Who. Mais l’album de la consécration sera aussi le dernier avec la formation d’origine, puisque Randy Bachman quitte le groupe tandis que la chanson-titre est encore n°1 des charts. Pour la petite histoire, ce tube, « American Woman », est né sur scène lors d’une improvisation où le chant plagiait Robert Plant joutant avec la guitare fuzz caractéristique de Bachman !
Very ´eavy… Very ´umble
Dès ce premier album, Huriah Heep s’inscrit, aux côtés de Led Zeppelin ou Deep Purple, comme l’un des meilleurs groupes dans la première vague hard. Un son parfait, une puissance évidente, mais les véléités progressives, un peu pompeuses parfois, ont plutôt mal vieilli.
Performance: Rockin’ the Fillmore (live)
Peter Frampton va quitter Humble Pie en 72 pour une carrière en solo… Il est encore là au moment de ce très grand live qui constitue un véritable sommet en matière de blues rock (le groupe puise d’ailleurs largement dans le répertoire des classiques du genre). Steve Marriott, en pleine forme, se distingue par une performence vocale du plus haut niveau.
Ot ´N´ Sweaty
Après quatre albums, le groupe Cactus va se séparer sans avoir jamais vraiment atteint la notoriété qu’il aurait mérité. Ce dernier disque est pourtant d’une grande qualité avec une partie composée d’un live époustoufflant : ce soir-là au moins, à Porto Rico, Cactus était évidemment le plus grand groupe rock du monde !
Demons and Wizards
Une parfaite maîtrise musicale, un hit radio qui déménage (« Easy Livin' ») et Uriah Heep s’installe comme le concurent le plus direct du Deep Purple de l’époque (le rapprochement entre les deux groupes est facile : l’orgue, le son, la voix…). Demons and Wizards place aussi Uriah Heep comme l’un des initiateurs anciens du metal gothique… Un style très daté, mais pour beaucoup d’adeptes le meilleur album du groupe.
Montrose
Comme avec la pop dans les années 60, les Etats Unis sont, au début de la décénie suivante, innondés dans un premier temps par le hard rock anglais (Led Zeppelin, Deep Purple). Montrose apparaît comme la première réponse à cette nouvelle « british invasion »… Belle réponse avec un rock massif et gros bras, qui recèle aussi quelques subtilités d’arragements intéressantes.
Tres Hombres
Album de la (jeune) maturité, « Tres Hombres » contient de fabuleux titres comme « Jesus Just Left Chicago », « Beer Drinkers & Hell Raisers », « Precious and Grace » ou le fameux boogie façon Canned Heat « La Grange »… Un blues rock solide, intègre, dédié avec humour à tous les « largués » de la vie moderne !
Go girl crazy!
Dans le sillage des MC5 et Stooges, ce précurseur du punk-rock et du metal, originaire de New York, n’a pas du tout connu le succès qu’il aurait mérité… peut-être parce qu’il ne se prenait pas au sérieux ?! Leur production discographique est pourtant tout à fait remarquable.
Presence
Après l’énorme « Physical Graffiti », les sept titres de cet album recoivent un accueil mitigé de la part de la critique. Mais si « Presence » est le premier Led Zeppelin à ne pas être considéré à l’unanimité comme un chef-d’oeuvre absolu, il reste un très grand disque, saisissant par ses rythmiques et ses harmonies souvent surprenantes et répétitives, parfois majestueuses… Au final donc, un indispensable comme tous les autres !