arena rock
Le rock d’arène est un type de musique rock qui est devenu populaire dans les années 1970 et 80 et qui présente un son plus fort et souvent plus explosif que les autres types de rock. Il était étroitement associé au heavy metal.
J’adore l’arène rock. C’est un truc américain, mais j’ai toujours aimé ça. Il semble que plus un groupe est populaire, plus il est susceptible d’être forcé de jouer dans des arènes. (Par exemple, Ozzy Osbourne est trop grand pour « The Great White Way » et doit apparemment jouer aux arènes partout où il va.) Bien sûr, ce n’est pas vrai quand il s’agit de toute la musique. Mais comme nous n’avons pas beaucoup de grands groupes ici en Amérique, nous devons trouver d’autres salles pour nos grands groupes, ce qui signifie des arènes.
Le rock d’arène de style musical est un type de musique rock qui est populaire depuis la fin des années 1980. Ce type de musique rock est originaire des genres hardcore punk et metal américains.
Ce type de rock est bruyant et rapide avec une guitare qui peut être déformée ou déformée, ce qui rend parfois difficile de distinguer les notes individuelles.
Secret Treaties
Emmené par son producteur-leader Sandy Pearlman, Bue Oyster Cult affirme son style flamboyant, ses riffs de guitares saturées… Le groupe va entretenir tout au long de son parcours des liens très étroits avec des artistes comme Patti Smith (compagne un temps du claviériste Allen Lanier).
Burn
Après le changement de line up du groupe, Deep Purple propose ce « Burn » très réussi, mettant en évidence les qualités des nouveaux membres du groupe, David Coverdale (chant) et Glenn Hugues (basse et chant). Les guitares heavy de Ritchie Blacmore se marient harmonieusement avec les voix des deux chanteurs du groupe, qui propose ici un hard-rock mâtiné de funk et de soul; un cocktail explosif !!! Chroniqué par Euhlain
Kiss
Emule des New York Dolls, héritier direct d’Alice Cooper pour le maquillage et les shows outranciers, Kiss et son hard glam rock (qui augure gentillement du metal à venir) va marquer le paysage musical de la deuxième partie des années 70 avec quelques excellents disques… à commencer par ce premier album éponyme tout à fait réussit.
Second Helping
Avec son mélange de blues, de country rock, et ses 3 guitaristes, Lynyrd Skynyrd est considéré comme le digne successeur des Allman Brothers. Entre le mythique « Sweet home Alabama » et « Call me the breeze » (une reprise de J.J. Cale), le groupe réalise ici l’album parfait.
Toys in the Attic
Formé autour du chanteur Steven Tyler et des guitaristes Joe Perry et Brad Whitford, le groupe qui assure à cette époque des premières parties de Mott The Hoople et Blue Oster Cult va devenir une institution du hard rock américain et l’un des groupes les plus populaires des années 70. « Toys in the Attic » est tout simplement excellent, avec notamment l’inusable riff de « Walk This Way » !
Deep Purple
A l’instar de Vanilla Fudge aux USA, Deep Purple tente à ses débuts le grand écart entre rock dur et musique classique. Ce qui peut se résumer (un peu schématiquement) à la dualité de ses principaux leaders Richie Blackmore et Jon Lord. Cet album, nettement plus convainquant que celui enregistré la même année avec grand orchestre, est la première affirmation nette du style qui fera les grandes heures du groupe.
High Voltage
Premier album de dimension internationale du groupe australien qui va devenir la référence incontournable du hard rock. Le tandem « Angus Young/Bon Scott » devient lengendaire tels les « Jagger/Richards », « Plant/Page » ou autres « Lennon/McCartney » !
Concerto for Group and Orchestra
A la suite des Moody blues et à l’instar de Nice et Pink Floyd, Deep Purple fait partie des groupes anglais à tenter la rencontre entre groupe rock et orchestre classique. Jon Lord est le compositeur de ce concerto bien nommé. Décrié par la rock critique de l’époque, le résultat n’est, en réalité, pas du tout mauvais. Reflet d’une époque en tous cas. En bonus sur les éditions ultérieures « Hard Road » et « Child in Time » faisaient partie du même concert.
Rocks
Peu de temps après « Toys in the Attic », Aerosmith réalise un nouveau sans faute avec cet album au titre bien senti et nouvelle pièce maîtresse de leur discographie. « Back in the Saddle », « Last Child » et « Sick as a Dog » vont devenir de grands standards du groupe.
Deep Purple in Rock
Sous l’influence de son organiste John Lord, Deep Purple avait commencé par des essais plutôt décevants de fusion entre rock et musique classique. Le groupe trouve ici sa véritable identité et inscrit définitivement, au côté de Led Zeppelin, l’une des grandes pages du hard rock de l’époque, avec notamment les titres mythiques « Speed king » et « Child in time » (auxquels il faut ajouter le single « Black Night » sorti à la même époque, présent sur les éditions bonus).
Boston
Avec ce premier album qui est l’une des plus remarquables ventes de tous les temps, Boston, originaire de la ville du même nom (immense vivier musical US), fait une entrée fracassante dans l’univers du rock FM. Mais le groupe ne confirmera jamais vraiment. Tom Scholz, génial bidouilleur de studio, se reconvertira plus tard en inventeur et homme d’affaires dans le secteur du son et de l’electronique.
Rides Again
La formule trio, « testée et approuvée » par Cream ou Jimi Hendrix, a fait école. Pour qu’elle fonctionne il faut évidemment des instrumentistes de haut vol : ça tombe bien, le guitariste Joe Walsh est un virtuose, maître du riff qui déchire ! « Rides Again », second album du groupe, est tout-à-fait du calibre des meilleurs Led Zeppelin.