arena rock
Le rock d’arène est un type de musique rock qui est devenu populaire dans les années 1970 et 80 et qui présente un son plus fort et souvent plus explosif que les autres types de rock. Il était étroitement associé au heavy metal.
J’adore l’arène rock. C’est un truc américain, mais j’ai toujours aimé ça. Il semble que plus un groupe est populaire, plus il est susceptible d’être forcé de jouer dans des arènes. (Par exemple, Ozzy Osbourne est trop grand pour « The Great White Way » et doit apparemment jouer aux arènes partout où il va.) Bien sûr, ce n’est pas vrai quand il s’agit de toute la musique. Mais comme nous n’avons pas beaucoup de grands groupes ici en Amérique, nous devons trouver d’autres salles pour nos grands groupes, ce qui signifie des arènes.
Le rock d’arène de style musical est un type de musique rock qui est populaire depuis la fin des années 1980. Ce type de musique rock est originaire des genres hardcore punk et metal américains.
Ce type de rock est bruyant et rapide avec une guitare qui peut être déformée ou déformée, ce qui rend parfois difficile de distinguer les notes individuelles.

Machine Head
Deep Purple, qui est parfois tombé dans la facilité en s’appuyant sur les seules prouesses techniques de l’organiste Jon Lord ou du guitariste Richie Blackmore, réalise ici le disque parfait. Evidemment porté par le succès populaire de « Smoke on the Water », l’album n’a par ailleurs pas la moindre faiblesse. Ensemble très homogène où tous les titres sont bons et le son énorme…

Free-for-All
Après avoir tourné dans les années 60 avec son groupe The Amboy Dukes, Ted Nugent s’impose avec un premier album solo comme un spectaculaire guitariste qui marque le hard des années 70. Il confirme avec « Free-for-All », malgré le départ de son excellent lead-singer Derek St.Holmes, remplacé sur six plages par un Meat Loaf (pratiquement inconnu au moment des sessions).

Made in Japan
Si la discographie de Deep Purple est impressionnante, le groupe a surtout marqué avec une petite poignée d’albums du début des années 70 (globalement jusqu’au départ de son chanteur Ian Gillan). Ce fameux « Made in Japan » – live d’anthologie s’il en est ! – est le couronnement de cette fabuleuse époque et de la période du Deep Purp mythique.

Evolution
Moins connu en Europe que Foreigner par exempe, Journey, immensément populaire aux USA dans les années 80, s’inscrit dans le même segment « rock FM ». Le guitariste Neal Schon avait été membre de Santana au début des années 70. Le chanteur Steve Perry rejoint le groupe en 1977. « Infinity », puis « Evolution » ouvrent alors une série d’albums à la production lêchée et la grande période du groupe.

Tyranny and Mutation
Parfois surnommé le groupe de metal pensant (!), mais aussi favorit des bandes de « bikers », Bue Oyster Cult fait partie des pionniers du genre (inventeur du désormais cliché metal/imagerie religieuse ?). Si leur premier album, réussi, avait connu un bon succès d’estime, « Tyranny and Mutation » est celui de la reconnaissance.

Moontan
Gloire nationale hollandaise dès le milieu des années 60, Golden Earring étend brusquement sa renommée en 1972 lorsque le groupe est engagé pour assurer la première partie des Who dans leur tournée européenne. « Moontan », l’abum qui suit, est aussitôt un gros succès, et le single « Radar Love » atteint les premières places dans tous les charts. Golden Earring tournera ensuite aux USA avec les Doobie Brothers et avec Santana, et restera très en vue en Europe durant toute la décénie.

Pronounced Leh-Nerd Skin-Nerd
Avec ce fantastique premier album, le monde n’apprend pas seulement à prononcer le nom difficile d’un nouveau groupe, il découvre surtout définitivement le sens de l’expression Southern Rock, country-blues musclé du sud des Etats Unis. Lynyrd Skynyrd fait en effet son pain blanc des riffs électriques et bluesy et des mélodies plaintives ou accrocheuses. Sans cet album il a forcément un gros trou dans le panorama rock des années 70 !

Secret Treaties
Emmené par son producteur-leader Sandy Pearlman, Bue Oyster Cult affirme son style flamboyant, ses riffs de guitares saturées… Le groupe va entretenir tout au long de son parcours des liens très étroits avec des artistes comme Patti Smith (compagne un temps du claviériste Allen Lanier).

Burn
Après le changement de line up du groupe, Deep Purple propose ce « Burn » très réussi, mettant en évidence les qualités des nouveaux membres du groupe, David Coverdale (chant) et Glenn Hugues (basse et chant). Les guitares heavy de Ritchie Blacmore se marient harmonieusement avec les voix des deux chanteurs du groupe, qui propose ici un hard-rock mâtiné de funk et de soul; un cocktail explosif !!! Chroniqué par Euhlain

Kiss
Emule des New York Dolls, héritier direct d’Alice Cooper pour le maquillage et les shows outranciers, Kiss et son hard glam rock (qui augure gentillement du metal à venir) va marquer le paysage musical de la deuxième partie des années 70 avec quelques excellents disques… à commencer par ce premier album éponyme tout à fait réussit.

Second Helping
Avec son mélange de blues, de country rock, et ses 3 guitaristes, Lynyrd Skynyrd est considéré comme le digne successeur des Allman Brothers. Entre le mythique « Sweet home Alabama » et « Call me the breeze » (une reprise de J.J. Cale), le groupe réalise ici l’album parfait.

Toys in the Attic
Formé autour du chanteur Steven Tyler et des guitaristes Joe Perry et Brad Whitford, le groupe qui assure à cette époque des premières parties de Mott The Hoople et Blue Oster Cult va devenir une institution du hard rock américain et l’un des groupes les plus populaires des années 70. « Toys in the Attic » est tout simplement excellent, avec notamment l’inusable riff de « Walk This Way » !