Top Albums Rock
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Disraeli Gears
Le très bon premier album de Cream restait très marqué par le blues. Mais le groupe donne avec « Disraeli Gears » toute la mesure de son talent en affirmant son originalité… Marqué par le psychédisme ambiant (voir la pochette !), un grand disque du mythique trio… et Clapton va devenir « God » !
L’album est sorti en novembre 1967. L’album est un mélange de styles blues, jazz, psychédélique et hard rock. L’album a été classé 47e sur la liste des 500 meilleurs albums de tous les temps de Rolling Stone.
Il a été classé 47e sur la liste des 500 meilleurs albums de tous les temps de Rolling Stone.

I Feel Like I’m Fixin’ to Die
Originalité : après avoir rendu hommage à Grace Slick (Jefferson Airplane) sur l’album précédent (« Grace »), c’est ici le tour de Janis Joplin (« Janis ») !… Mais pour l’essentiel, Country Joe et son Poisson créé ici l’hymne emblématique de la lutte contre la guerre du Viet-Nam : la chanson titre « I Feel Like I’m Fixin’ to Die ».
Country Joe and the Fish était un trio composé du chanteur/guitariste/auteur-compositeur Country Joe McDonald, du guitariste David Bennett Cohen et du batteur David Cohen. Ils étaient parmi les groupes les plus populaires au Monterey Pop Festival de 1967.
Le son du groupe était enraciné dans le rock mais s’inspirait du jazz, du blues, de la musique folk, de la musique de jug band et de la musique orientale. La chanson « I Feel Like I’m Fixin’ to Die Rag » est une chanson de protestation ragtime contre l’escalade de l’implication des États-Unis dans la guerre du Vietnam malgré le président Lyndon B. Johnson

Electric Music for the Mind and Body
Country Joe McDonald a le sens de la formule : le titre de cet album est un véritable programme du psychédélisme ! Il faut dire qu’il est un leader évident, très engagé politiquement. Chanteur de folk rock au départ, il se distingue dans les années 60 avec l’électrique (et très électrisé !) Fish, et ce détonnant premier album.
Country Joe and the Fish était un groupe de rock psychédélique américain formé à Berkeley, Californie en 1965. Le groupe avait un catalogue de six albums, ils sont : Electric Music for the Mind and Body (1967), I-Feel-Like-I’ m-Fixin’-to-Die/Fish Cheer (1968), Here We Are Again (1969), Memories of West Marin (1970), Together Again (1973) et Close to Home (1980).
Le premier album du groupe est Electric Music for the Mind and Body, qui est sorti en 1967. L’album a été caractérisé comme un croisement entre le folk rock, la musique country, le rock psychédélique et le blues.

Time Has Come Today
En 67, la soul music est aussi touchée par le mouvement psychédélique. Les frères Chambers, s’ils sont un peu tombés dans l’oubli par la suite, ont eu une influence très importante (notamment sur Sly and The Family Stones), et cet album, porté par le gros succès de sa chanson titre, est un fleuron incontournable de l’époque.
Les Chambers Brothers étaient l’un des groupes les plus influents des années 1960. Ils sont connus pour leur chanson à succès « Time Has Come Today ». L’album est sorti en 1967 et a été répertorié sur la liste « The Greatest Albums » de Rolling Stone. Il fait également partie du National Recording Registry, une liste d’enregistrements culturellement ou esthétiquement importants.

Safe As Milk
Un blues électrique sans faille et un bon grain de folie : la complicité et les affinités avec Zappa, que le groupe accompagnera, sont ici déjà bien évidentes. « Safe as milk », premier album du groupe de Don VanVliet, est généralement considéré comme l’un des meilleurs d’une discographie… où l’on trouve aussi l’inévitable « Trout Mask Replica » !
C’est une pièce de forme libre qui commence par un pincement de guitare aigu et se termine par un riff de guitare électrique descendant qui cède la place à « Tropical Hot Dog Night ». Cette deuxième partie commence par sonner comme un morceau de blues typique, mais se brise rapidement dans un territoire plus expérimental. Il comprend des voix de Beefheart et de Frank Zappa.

Canned Heat
Comme Janis Joplin, Canned Heat est un enfant du Monterey Pop, le premier grand festival historique, dont ils sont l’une des révélations. Le groupe est alors présenté comme une réponse californienne au Paul Butterfield Blues Band de la côte est. Grand popularisateur du blues électrique, Canned Heat comporte un excellent guitariste (Henry Vestine, ex-Mothers of Invention) et se fait remarquer grâce à ses deux chanteurs et harmonicistes : Bob Hite (la voix grave), et Alan Wilson (la voix aiguë)…

Younger Than Yesterday
Dans le sillage du très psychédélique « Fifth Dimension », cet album représente sans aucun doute un sommet dans le parcours des Byrds. Chris Hillman y prend une importance toute particulière en s’affirmant comme un très talentueux compositeur, c’est évidemment l’élément country du groupe, comme le confirmera la suite de sa carrière.
Les trois premiers albums du groupe étaient considérés comme l’une des combinaisons musicales les plus réussies de chant en harmonie étroite et de jangle de guitare à 12 cordes, mais Younger Than Yesterday avait une orientation plus expérimentale avec plus de musique instrumentale à bord.
Les Byrds ont expérimenté d’autres nouveaux sons, notamment le jazz, le blues et le psychédélisme, ce qui a conduit le groupe à se séparer après cette sortie.

Again
Des chansons toujours d’aussi grande qualité. Mais on sent les personnalités s’affirmer au dépend peut-être d’un réel travail de groupe. Ainsi les styles personnels de Neil Young (« Expecting to Fly » ou « Broken arrow ») et Steve Stills (« Mr. Soul », « Everydays », « Bluebird », « Rock and roll woman ») apparaissent très nettement, tandis que Richie Furay compose et se réserve l’interprétation des morceaux les plus folk (« Sad memory »).

Goodbye and Hello
Personnage sensible, original, fort et lucide, remarquable chanteur, Tim Buckley n’a pas vraiment été reconnu par le public rock de son époque. Il deviendra pourtant un artiste culte après son décès prématuré en 75… Parti du folk, ses sources musicales iront ensuite vers le jazz (l’excellent « Happy Sad ») et la soul (« Greetings from L.A. »).
L’album s’ouvre sur « The Parade », une chanson sur la vie qui passe devant eux et qui s’en va comme la parade. Il continue à décrire de nombreux aspects différents de la vie au fur et à mesure qu’elle passe. La chanson se termine avec Tim parlant de ses souvenirs de son fils Jeff, qui sont réconfortants pour lui à certains égards mais aussi douloureux à d’autres.

The Letter/Neon Rainbow
Les Box Tops, avec leur excellent chanteur Alex Chilton, sont des spécialistes de la musique soul blanche. Originaires de Memphis, ils marquent l’année et l’été 67 avec leur tube le plus connu « The Letter ». Ils connaîtront quelques autres succès après, mais ne survivront pas au changement de décénie, ils se séparent en février 70.
L’album « The Letter / Neon Rainbow » du groupe de musique rock « The BOX TOPS » sorti en 1967 est l’une des pièces musicales les plus influentes et les plus réussies commercialement.
Cet album est le reflet de l’énergie et de l’attitude rebelle de la fin des années 1960. Les chansons ont été écrites par le guitariste Alex Call, qui était également responsable de l’écriture de certains de leurs succès précédents. Ils sont surtout connus pour leurs singles à succès comme « The Letter », « Neon Rainbow » et « Sweet Soul Music ». Le groupe s’est séparé en 1971, mais s’est réuni en 1984 avec un nouveau chanteur, Rich Treadway.
En 2015, pour célébrer leur 50e anniversaire en tant que groupe qui a commencé en tant que lycéens jouant dans des danses et des centres commerciaux à travers Memphis, ils ont réalisé un documentaire sur leurs racines intitulé ‘Box Top : A

David Bowie
On l’oublie parfois, mais David Bowie, né en 1947, commence à enregistrer très tôt comme en atteste la compilation « Early On (1964-1966) ». Ses premiers essais, dans des genres très variés (façon Kinks, Who ou Rolling Stones), sont tous des flops commerciaux. Il faut donc attendre 1967 pour voir la sortie de ce premier album consistant, plutôt pop, mais dont bon nombre de titres sont devenus cultes pour les adeptes.
L’album a été enregistré dans un studio situé au 20 Forthlin Road, à Londres. Le studio appartenait à Gus Dudgeon, qui a également aidé à concevoir les sessions de l’album.

Magical Mystery Tour
Sorti quelques mois après « Sgt. Pepper’s », « Magical Mystery Tour » (bande sonore du film du même nom) n’affiche pas la même homogénéïté mais apparaît plus comme une compilation de chansons diverses. Pourtant, les Beatles sont toujours autant en avance sur leur temps avec notamment les audaces de John Lennon (« I’m the walrus » et « Strawberry fields forever »).
‘était la bande originale d’un film du même nom. L’album a atteint le numéro un dans divers pays, dont l’Australie, le Canada et les États-Unis.
Le film était une parodie des récits de voyage typiques d’Hollywood, tout comme l’album de musique. Il contient des paroles absurdes qui sont chantées d’une voix optimiste sur un fond de musique psychédélique.
Certaines des meilleures chansons de cet album sont « I Am The Walrus », « Magical Mystery Tour », « The Fool On The Hill » et « Your Mother Should Know ».

Sgt. Pepper´s Lonely Heart Club Band
Album de légende, longtemps considéré comme LE meilleur disque de tous les temps !… Il est vrai qu’à sa sortie c’est une véritable bombe par la perfection quasi absolue de la production (merci Georges Martin !). Quand on connaît les moyens techniques de l’époque, c’est tout simplement fabuleux. Pourtant certaines chansons pourraient sembler un peu faibles (« Good morning » ou « Lovely Rita »)… Tout le reste ce sont d’authentiques « diamonds in the sky » !
Pour cet album, ils avaient prévu un projet ambitieux qui était censé être une performance musicale continue mettant en vedette leurs chansons et avec d’autres artistes populaires de l’époque.
Pour y arriver, ils ont dû répéter pendant près de six mois avant que l’enregistrement ne commence. Ces sessions ne portaient pas seulement sur la pratique des performances, mais aussi sur des techniques expérimentales telles que les effets sonores et l’improvisation qui ont fait que certaines chansons n’ont jamais été jouées en direct car elles ne pouvaient pas être reproduites sur scène. »
L’album a été classé comme l’un des plus grands albums de tous les temps par de nombreuses publications, dont Rolling Stone, NME et Mojo. Sgt. Pepper est connu pour son utilisation innovante des techniques d’enregistrement multipiste et son utilisation intensive d’instruments électroniques tels que le synthétiseur et le Mellotron, qui étaient relativement nouveaux à l’époque. L’album a été enregistré sur une période de 129 jours à partir d’avril 1966.

Smiley Smile
Brian Wilson était parti sur un nouveau projet d’envergure qui devait s’intituler « Smile ». Mais il sombre dans la dépression et abandonne. « Smiley Smile » sort en remplacement. Original, avec des accents comédie musicale et une complexification extrême des harmonies et des arrangements, il atteste d’une volonté absolue de dépassement… dépassement et sommet qu’il trouve avec « Heroes And Villains » et surtout « Good Vibrations », l’un des titres les plus légendaires de toute l’histoire du rock !
Il a été enregistré avec une contribution minimale de Brian Wilson, qui se remettait encore d’une maladie mentale à l’époque. L’album « Smiley Smile » a un style et un son uniques, car il a été principalement produit par son père, Murry Wilson.

Insight Out
Le vendredi 16 juin, The Association est à l’honneur en ouvrant le Festival de Monterey. Mais cette occasion d’entrer définitivement dans l’histoire est balayée ce soir-là par une bombe qui brûle les planches peu de temps après, un certain Jimi Hendrix. Et il en sera ainsi, The Association, malgré des qualités énormes et une grosse contribution aux techniques de studio, malgré les nouveaux hits « Wendy » et « Never My Love », restera un groupe largement sous-estimé… Défaut d’image peut-être ?… Il se dissoudra en 1973.
L’Association a sorti huit albums au cours de ses 12 ans de carrière. La seule chanson numéro un du groupe sur le palmarès Billboard Hot 100 était « Windy » qui est sorti en 1968. La chanson parle d’une relation qui a pris fin lorsque le chanteur dit à son partenaire à la fin d’une soirée qu’il part, et elle ne le reverra pas tant que le vent ne se sera pas calmé.
L’Association s’est dissoute en 1970 mais s’est réunie pour deux autres albums et concerts de 1972 à 1974 avant de se dissoudre définitivement.

Eric Is Here
Le départ d’Alan Price sonne quasiment le glas pour les Animals. La période trouble semble s’achever quand Eric Burdon reforme le groupe sous le nom de The New Animals. Mais la messe est dite et cet album (au titre évocateur) est clairement une transition vers son parcours solo. Carré et homogène, peu novateur mais plutôt plaisant, « Eric Is Here » est totalement porté (sauvé ?) par la prodigieuse voix soul du chanteur.
Eric Burdon et les ANIMAUX ont sorti un album studio en 1967, intitulé « Eric Is Here ». L’album est sorti à une époque où il y avait un intense activisme social sur la guerre du Vietnam.
Cet album a été enregistré à la fin de 1966 et au début de 1967, après que Burdon ait quitté le spectacle New Animals pour former son propre groupe. Il présente sa voix de marque sur de nombreuses pistes. Les enregistrements Is Here ont été à un moment donné considérés comme le modèle de ce qui est devenu connu sous le nom de musique heavy metal.
La première sortie du groupe était « Eric is Here », qui comprenait des chansons telles que « Rockin’ House » et « Good Times ». Cette chanson a été reprise par de nombreux autres artistes à ce jour, dont Creedence Clearwater Revival.

The Young Rascals
Les Young Rascals sont parmi les plus fameux représentants de la « Blue-eyed-soul » aux USA (« soul aux yeux bleus » : traduire la pop-soul des blancs !). Le groupe se distingue notamment grâce à ses trois excellents chanteurs Felix Cavaliere, Eddie Brigati et Gene Cornish. Cet excellent premier album est essentiellement composé de reprises.

Up-Tight Everything’s Alright
La carrière de ce multi-instrumentiste commence très tôt dans les années soixante (premier album en 62). En 1966, après avoir déjà connu plusieurs succès, il publie ce premier chef d’oeuvre, collection de tubes. La soul music va devenir, grâce à lui notamment, un courant majeur du rock.

A Quick One (Happy Jack)
Les Who s’affirment (confirment ?) avec ce 2ème album comme l’une des grandes valeurs du rock anglais et du hard rock naissant. Il est à noter que Peter Townshend ne s’est pas encore imposé comme le grand auteur-compositeur du groupe, mais qu’il partage largement ce rôle avec les autres membres (y compris Keith Moon qui signe ici 2 titres).

River Deep Mountain High
La vague soul va envahir l’Amérique, puis le monde… Avec Otis Redding, Aretha Franklin et James Brown, Ike et Tina Turner en seront les principaux vulgarisateurs. La chanson titre de cet album, écrite par Phil Spector, a fait l’objet d’un traitement particulier : son enregistrement a coûté plus cher que la réalisation de tout le reste de l’album !

Wild Thing
Au milieu des années 60, les Troggs marquent la scène anglaise avec un rock hargneux et un son proche du punk rock de la décénie suivante. « Wild Thing » et « Love Is All Around » sont des hits (y compris aux USA), tandis que « I Can’t Control Myself » est censuré en Australie et à la BBC pour cause de paroles « obcènes » !

The Psychedelic Sounds of the 13th Floor Elevators
Incontournable document ou disque d’anthologie sur les premières expérimentations musicales sous l’influence de la drogue… Ce n’est pas en Californie, mais au centre des Etats Unis ! Roki Erickson, le leader chanteur du groupe, sera plus tard interné en hopital psychiatrique… où il sera retenu enfermé pendant plus de trois ans !

The Supremes A’ Go-Go
Les Supremes (qui vont devenir « Diana Ross & The Supremes » par la forte personnalité de Diana), seront les championnes de la soul romantique. Elles enregistrent cependant quelques titres nettement plus musclés comme « You Can’t Hurry Love » qui sera plus tard repris, pratiquement en l’état, par Phil Collins.

Why Pick on Me
Après « Dirty Water », « Medication » ou la version vitaminée de « Hey Joe », le groupe californien, dirigé par le producteur-compositeur Ed Cobb, continue d’aligner les titres forts : la chanson titre ou « Sometimes Good Guys »… « Why Pick on Me » est avec « Dirty Water » l’album de référence des Standells… mais il existe aussi de bonnes compilations.