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The Sound of 65
Un peu oublié, l’organiste-saxophoniste Graham Bond fait partie des pionniers du british blues, comme John Mayall, Long John Baldry ou Alexis Korner. C’est dans l’entourage de ce dernier qu’il fait la connaissance de Jack Bruce et Ginger Baker, qui rejoignent bientôt son groupe. « The Sound of 65 » et le suivant « There’s a Bond Between Us », aux accents parfois jazz et rhythm-n-blues, font partie des très bons disques de l’année.

Marianne Faithfull
Equivalent anglophone de ce que font les « Yé yé » à la même époque en France, Marianne Faithfull connaît un important succès dans la deuxième partie des années 60. Elle gravite dans l’univers des Stones, sera la compagne de Mick Jagger. Il composent pour elle ce qui devient son premier hit, « As Tears Go By »). Et elle co-écrira plus tard « Sister Morphine », sur l’enfer de la drogue, un titre autobiographique.

Highway 61 revisited
L’album de la « transition » : trahison pour les fans de la première heure, Dylan électrifie sa guitare ! (plus précisément, il confie cela à un invité de marque : Mike Bloomfield)… Il enregistre aussi accompagné de musiciens. Avec la chanson « Like a rolling stone » il créé un hymne (un de plus à son actif) de la jeunesse des années soixante.

Bringing It All Back Home
L’album qui sort sous le titre « Bringing It All Back Home » en Mars 1965, débute par un incroyable choc : « Subterranean Homesick Blues » un morceau à la Chuck Berry. Toute la première face est électrique et la deuxième est enregistrée avec un Bob Dylan seul avec sa guitare sèche et son harmonica. Nombre de ses fans accusent desormais Dylan d’avoir renié son amour du peuple, d’être devenu une Pop Star vaniteuse vendue à l’argent…

Fifth Album (live)
A la différence de Carole King, Joni Mitchell ou Carly Simon, Judy Collins ne compose pas, elle est interprète avant tout. Mais c’est l’une des plus jolies voix des Etats-Unis ! Elle chante du folk tout au long des années soixante, se diversifiera ensuite… Pour la petite histoire : c’est pour elle que Stephen Stills a écrit la célèbre « Suite: Judy Blue Eyes » !

Turn, Turn, Turn
Le second album des Byrds s’inscrit totalement dans la continuité du précédent. Les Byrds représentent alors aux USA l’une des principales alternative (commercialement parlant) aux succès des groupes britaniques, Beatles en tête.

Mr. Tambourine Man
Les « Oyseaux » (!) se sont distingués au départ en proposant des versions orchestrées et électriques des chansons de Dylan (ici, notamment, la chanson titre), inventant ainsi le folk-rock. Les arrangements vocaux éthérés et le son cristalin particulier de la douze cordes électrique de Roger McGuinn font aussi partie de la « marque de fabrique ».

The Paul Butterfield Blues Band
Paul Butterfield (harmonisciste, chanteur, guitariste) est une grande figure et un pionnier du « Chicago blues » électrique. Avec la complicité de Mike Bloomfield, il inaugure dès le début des années 60 la grande lignée des groupes de blues rock américains.

Papa’s Got a Brand New Bag
1965 est pour James Brown l’année de l’explosion internationale et sa popularité envahit le monde de la pop. La célèbre chanson « Papa’s Got a Brand New Bag », tube inter-continental, qui donne son nom à cet album, est généralement considérée la pièce fondatrice du funk.

Introducing the Beau Brummels
Les Beau Brummels, formés à San Francisco autour du guitariste Ron Elliott et du chanteur Sal Valentino, sont aux USA la première réplique historique à la British Invasion. « Laugh, Laugh » et « Just a Little » sont des succès, mais le groupe peine à s’imposer vraiment et se fait doubler sur son territoire par les Byrds. Il cesse d’exister en 1968 et sera redécouvert et salué unanimement après la sortie d’un coffret 3 CD… en 1996 !

Rubber Soul
Avec Rubber Soul, les Beatles livrent des chansons plus construites, le son s’enrichit considérablement, s’éloignant de l’archétype rock-n-roll. La citar indienne fait son apparition (« Nowegian wood »). L’album a une tonalité plus folk que les trois précédents. Il anticipe assez bien ce qui sera développé par la suite.

Help!
En pleine beatlmania, le groupe traverse une crise énorme. Les concerts tournent à la folie complète, les quatre musiciens diront plus tard qu’ils ne s’entendaient même plus jouer. « Help », la chanson, a été décrite comme un véritable cri de détresse : « aide-moi à remettre les pieds sur terre » ! Les Beatles vont définitivement abandonner la scène pour se consacrer au travail en studio.

Summer Days (And Summer Nights)
Les Beach Boys sont influencés par le travail sophistiqué de Phil Spector et Brian Wilson se lance de plus en plus dans l’écriture de chansons complexes qui s’apparentent à de mini-symphonies. L’heure est à l’expérimentation… une démarche encore très novatrice en 1965.

Today!
En 1965, avec « Today! » et « Summer Days », les Garçons de la plage s’éloignent un peu de l’insouciance et de la frivolité des débuts. La personnalité tourmentée de son mentor Brian Wilson y est pour beaucoup. Le groupe s’oriente aussi, musicalement, vers des compositions plus ambitieuses.

Animal Tracks
Avec leur matériel essentiellement composé de reprises, les Animals incarnent peut-être mieux que tout autre la transition entre les pionniers du blues, du rock-n-roll et du rhythm-n-blues, et le rock des années soixante. Le caractère sauvage du groupe et l’étonnante maturité de la voix d’Eric Burdon font sensation. Mais une querelle sur les droits d’adaptation de « The House of the Raising Sun », uniquement attribués à Alan Price, entraîne le départ de ce dernier.

The Zombies
Les Zombies, assez largement oubliés aujourd’hui, font partie de toutes les bonnes compilations des années 60. Avec leur pop typiquement britanique, ils sont l’un des seuls groupes à rivaliser vraiment avec les Beatles sur le plan mélodique. Malgré leurs premiers succès précoces, « She’s Not There » et « Tell Her No », la carrière ne va pas suivre… les Zombies, groupe maudit ?!

Five Live Yardbirds
Les Yardbirds, groupe de légende, va voir se succéder en son sein trois des plus fameux guitaristes de l’histoire du rock : Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page. Clapton est membre du groupe jusqu’en 1965 et partira ensuite rejoindre les Blues Breakers de John Mayall.

Folk Singer
Muddy Waters, pilier du Chicago Blues et du Blues électrique, laisse ici de côté le son saturé de sa guitare électrique. Ces sessions montrent un Muddy Waters retournant à ses racines sudistes en interprétants ses standards de façon acoustique pour une sorte de Unplugged avant l’heure… Chroniqué par Pierre-André Bague

Where Did Our Love Go?
Les Supremes, fleuron du label Tamla Motown, vont être les premières super star américaines. C’est aussi incontestablement le groupe de chanteuses le plus populaire de tous les temps. Elles vont aligner tout au long des années 60 une incroyable série de tubes, comme ici les méga « Where Did Our Love Go » et « Baby Love ».

First R&B Festival
Très justement surnommé plus tard le « 1er supergroupe » de l’histoire, The Steampacket réunit Long John Baldry, Brian Auger, Julie Driscoll et Rod Stewart (qui était juste avant cela roadie des Yardbirds !). Cet album est l’une de ses rares traces discographiques. Il s’agit d’un festival organisé et capturé par Georgio Gomelsky, le manager des Yardbirds, qui réunit sur scène, outre Steampacket, le Spencer Davis Group, les Yardbirds et la légende du blues Sonny Boy Williamson… !

Wednesday Morning, 3 am
Avec seulement quelques albums, le célèbre duo new-yorkais va marquer la jeunesse étudiante des années soixante avec une musique « intelligente ». Il fait partie des inventeurs du folk rock qui sera un courant majeur de la décennie. Cet album contient une première version de « The Sound Of Silence », titre emblématique et tube éternel !

It’s the Searchers
Les Searchers, originaires de Liverpool comme les Beatles, sont, après ceux-ci, parmi les plus gros vendeurs de disques jusqu’en 1965. Spécialisés dans la reprise de succès américains, ils affichent de remarquables qualités d’instrumentistes et de brillantes harmonies vocales… Une longévité exceptionnelle : aux dernières nouvelles, le groupe existe encore aujourd’hui !

It’s My Way!
Buffy Sainte-Marie est une amérindienne née dans une réserve canadienne. Elle va devenir une militante de la cause des indiens d’Amérique, mais également de toutes les grandes causes sociales. Donovan fera un hymne pacifiste de « Universal Soldier » et « Codine », reprise par de très nombreux artistes, est la première chanson à parler des revers de la drogue.

Presenting the Fabulous Ronettes Featuring Veronica
Les Ronettes, de l' »écurie » Phil Spector, font partie du paysage musical des sixties. Ce trio féminin se distingue par de nombreux tubes, dont l’énorme « Be My Baby ». Mais aussi par Ronnie Bennett (future épouse de Spector)… qui est la première chanteuse sexy !