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The Rolling Stones
Le premier album des Rolling Stones… Essentiellement composé de reprises, on retiendra pour l’histoire qu’il contient la première chanson signée « Jagger/Richard », « Tell me (you’re coming back) ». Le choix des chansons est déjà révélateur : quand les « gentils » Beatles font dans la chanson d’amour à l’eau de rose, les « vilains » Stones vont faire dans la « provoc » : « I just want to make love to you » !

Tobacco Road
Pas du tout originaires de Nashville, mais bien anglais, les Nashville Teens se distinguent sur les scènes du début des années 60 par leurs reprises. Ils sont l’un des premiers groupes à faire un hit du standard qui donne son nom à cet album. On les retrouvera comme accompagnateurs des concerts européens de Chuck Berry, Carl Perkins, Gene Vincent ou Jerry Lee Lewis (le fameux « Live at the Star Club »).

The Five Faces of Manfred Mann
Manfred Mann est une institution du rock anglais des années 60, dont le succès aurait très bien pu faire de l’ombre aux Rolling Stones. Fondé par le pianiste de jazz qui donne son nom au groupe, la formation développe dans un premier temps une pop très influencée par le rhythm-n-blues.

Live at the Star Club, Hamburg
Un live historique et l’un des plus grands disques de rock-n-roll jamais enregistrés !… Le piano sauvage de Jerry Lee Lewis est devenu dans l’histoire aussi célèbre que la Gibson demi-caisse de Chuck Berry. Lewis dit de lui-même qu’il a depuis toujours « la musique dans les veines et la foudre dans la main droite ». Une forte personnalité et un jeu boogie qui influencera nombre de musiciens.

Red Hot from Alex
Initiateur et père du british blues au début des années 60, mais également influencé par le jazz, Alexis Korner est une personnalité essentielle de la scène anglaise. Véritable parrain des Rolling Stones (il est à l’origine de leur formation), il aura accueilli dans son Blues Incorporated : Mick Jagger et Charlie Watts, Jack Bruce et Ginger Baker, Eric Burdon, Long John Baldry… pour n’en citer que quelque uns !

Kinks
Les Kinks de Ray Davies sont, avec les Who et les Small Faces, parmi les principaux groupes « mods » (parkas, chaussures italiennes et scooters !). Ils marquent fortement les débuts du rock avec, notamment leur premier hit « You Really Got Me », pièce d’anthologie des sixties.

Four Tops
Après un début de carrière dans les années 50, les Four Tops signent chez Tamla Motown. Ils vont devenir très rapidement l’un des groupes phares du label. « Baby I Need Your Loving » est un tube mondial, qui sera suivi par de nombreux autres tout au long des années 60. Ce groupe vocal, qui passe avec aisance de la soul au pop-rock, est l’un des plus fameux des Etats-Unis.

Rag Doll
Calqués sur le modèle des groupes vocaux noirs des années 50, lxBeatles). Un immense succès sur la côté Est, mais pas seulement puisqu’ils font partie des 20 plus gros vendeurs de disques de tous les temps !…

The times they are a-changin´
Dylan persiste et signe avec cet album extrêment dépouillé (une voix et une guitare). « les temps sont en train de changer » effectivement, et Dylan l’a compris. Il fustige les tares d’une amérique bien-pensante où règne encore des injustices criantes.

A Love Supreme
Controversée par les puristes du jazz, le saxophoniste John Coltrane n’appartient pas non plus au monde du rock. Pourtant son influence est considérable sur nombre de musiciens chevelus ! Son approche quasi spirituelle de la musique va faire école, même au delà du jazz rock. Et puis « A Love Supreme » est généralement considéré comme l’un des disques les plus importants jamais réalisés… pourquoi nous en priverions-nous ?!

St. Louis to Liverpool
On pensait le mythe usé et sur la pente descendante au profit de la pop anglaise, mais Chuck Berry, en faisant un clin d’oeil à la ville des Beatles, dégaine en 1964 l’un de ses plus grands albums. Il ajoute à son impressionnante collection des standards comme « No Particular Place to Go » ou « You Never Can Tell », affichant contre toute attente une forme éblouissante.

Beatles For Sale
Les « quatre garçons dans le vent » sont devenus une affaire commerciale gigantesque et (clin d’oeil ?) ce troisième album s’intitule « Beatles à vendre » ! Pour la petite histoire on retiendra que Ringo Starr apparaît ici comme lead chanteur avec une reprise dans un genre « country-rock » (Honey don’t), style vers lequel ira sa prédilection plus tard pour ses albums en solo.

A Hard Day´s Night
Enthousiasme, fraîcheur et un incroyable dynamisme font de ce disque le meilleur probablement de la première période. C’est aussi le premier à ne comporter aucune reprise. La première partie de l’album constitue la bande originale du film « A hard day’s night » (de Richard Lester) qui rend parfaitement compte de la joyeuse ambiance de folie qui entourait le groupe à cette époque.
![Looking at Long John Baldry (The UA Years 1964-1966) [Import USA] Compilation, Import, Remasterisé par Long John Baldry Looking at Long John Baldry (The UA Years 1964-1966) [Import USA] Compilation, Import, Remasterisé par Long John Baldry - Le répertoire est principalement blues/soul standards, avec un soupçon de gospel jeté dans le mix. Les pistes ont été bien choisies et conviennent parfaitement à la voix distinctive de Baldry](https://discrock.com/wp-content/uploads/2021/07/long-john-s-blueslooking-at-long-john-baldry-1964-discrock-1024x1024.jpg)
Long John’s Blues/Looking at Long John
A l’instar de John Mayall, Long John Baldry est une figure historique du British Blues, grand initiateur comme lui du Blues Boom. A 16 ans il joue avec Charlie Watts, le futur batteur des Rolling Stones. Il travaille également au tout début des années 60 avec Rod Stewart. Cette ré-édition de 1995 contient l’intégralité des deux excellents premiers albums aujourd’hui introuvables.
![THE ANIMALS IMPORT US 1964 [SE4264] VINYL LP THE ANIMALS IMPORT US 1964 [SE4264] VINYL LP - Leur personnalisation du traditionnel "The House of the Rising Sun" (le "Pénitencier" de Johnny !) s'impose d'emblée comme l'un des plus gros hits pop de l'histoire](https://discrock.com/wp-content/uploads/2021/07/the-animals-usa-1964-discrock-1024x1024.jpg)
The Animals (USA)
Les Animals, fondés par Alan Price et Eric Burdon, connaissent au début des années 60 un succès similaire aux Beatles et Rolling Stones. Ils ont les mêmes sources, le rhythm-n-blues, le rock-n-roll. Leur personnalisation du traditionnel « The House of the Rising Sun » (le « Pénitencier » de Johnny !) s’impose d’emblée comme l’un des plus gros hits pop de l’histoire.

Greatests Hits (Compil. 1960 – 1963)
Même si leur look reste très « gentil », les Shadows constituent au tout début des années 60 une sorte d’archétype de la formation rock et Hank Marvin est considéré comme l’un des premiers maîtres de la guitare électrique. Ils sont à l’époque les accompagnateurs de Cliff Richard (mais aussi d’Eddie Cochran) et se spécialisent dans la musique instrumentale. Le fameux « Apache » est leur premier tube en 1960.

If I Had a Hammer – Songs of Hope & Struggle
Pete Seeger est – avec Woody Guthrie – la grande figure du folk américain. Auteur-compositeur, mais aussi popularisateur des traditionnels, il a été de tous les combats sociaux. Cette compilation, sans doute l’une des meilleures, rassemble essentiellement des titres des années 50 et du début des années 60. Pour sa sortie en 1998, Seeger a enregistré deux titres nouveaux… il avait alors 79 ans !

Twist & Shout!
Les Isley Brothers débutent sous forme de trio (le reste de la famille suivra plus tard !). Bien avant les Beatles ils déclenchent l’hystérie avec le titre « Twist and Shout », écrit pour eux par leur producteur Bert Berns sous le pseudonyme de Russell. Le rhythm-n-blues vitaminé du groupe va avoir une influence déterminante sur la première vague pop rock des années 60, mais le groupe va aussi poursuivre une carrière impressionnante de longévité.

Burnin’
La production de John Lee Hooker est très riche et très abondante au début des années 60. Mais il s’agit, en fait, de titres anciens qui sont alors rassemblés par la maison de disques, la plupart étant composés et joués dès le début de la décénie précédente. « Burnin' » propose une sélection électrique, avec notamment « Boom Boom », l’un des hits les plus connus du chanteur, et dont les Animals feront une version en Angleterre en 1964.
La musique de John Lee Hooker reste aussi puissante que jamais. Ce disque a été réalisé peu de temps avant son décès, mais sa musique, telle qu’on l’entend sur ce disque, est plus intense que jamais. Comme le disait l’homme lui-même : « Vous ne pouvez pas écrire le blues sur un morceau de papier, tout est question de sentiment.

Green Onions
Composé de musiciens issu de la maison Stax, Booker T. (nom du pianiste) & the MG’s (Memphis Group) se révèle comme un précurseur du blues « blanc » électrique avec sa chanson instrumentale « Green Onions » qui réussi l’exploit d’être classée 3ème des charts anglais du début de 60’s… « Green Onions » sera par la suite interprétée à de maintes reprises par des artistes aussi divers que The Shadows, Al Kooper, Count Basie, The Blues Brothers, Roy Buchanan…
Booker T. and the M.G.s (pour « Mainstream Gonna Stand Aghast ») est l’orchestre emblématique qui accompagne tous les grands musiciens de la soul music.

Runaround Sue
D’abord chanteur des Belmonts, Dion entame très vite une carrière solo. Il se taille un beau succès à l’époque des « idoles des jeunes », essentiellement dans le style Doo Wop qui sera largement piraté par les Yé-yés en France. Charnière entre le rock-n-roll et le pop-rock, il va se faire broyer par des problèmes de drogue au milieu des années 60. Il réapparaîtra plus tard avec un registre allant du folk au blues, mais il reprend encore aujourd’hui sur scène ses premiers hits « Runaround Sue » ou « The Wanderer »… pour les nostalgiques !

Da Doo Ron Ron
Phil Spector, compositeur et guitariste, va surtout marquer l’histoire du rock comme producteur. Au tout début des années 60, Il lance sous son propre label les Ronettes et les Crystals, groupe féminin de soul et rhythm-n-blues qui alignent les premiers tubes de l’histoire de la pop : « Da Doo Ron Ron », « There`s No Other Like My Baby », « Then He Kissed Me »…

Dance til Quarter to Three
Gary Arderson, renommé « U.S. Bonds » par le producteur Frank Guida, présente la caractéristique d’avoir aligné les tubes en 61/62 (« Quarter to Three » est n°1 aux Etats Unis) pour disparaître totalement pendant 20 ans, éclypsé dans son registre rock-n-roll/blues mâtiné de soul par des artistes comme Wilson Picket. Il fera son come back en 1981 seulement avec l’aide de Bruce Springsteen qui produira un très bon « Dedication ».

Link Wray & the Wraymen
Eric Clapton, Jimi Hendrix, Jeff Beck, Jimmy Page, Pete Townshend ont tous été fan de Link Wray. Townshend a même déclaré que s’il ne l’avait pas entendu il ne se serait jamais mis à la guitare ! A l’époque ou Hank Marvin travaille un son épuré, Link Wray joue avec la saturation, trafique ses amplis, perce ses haut-parleurs, invente le fuzz : la guitare distorsion fera évidemment des adeptes !… Un pionnier qu’on a un peu tendence à oublier mais dont l’influence a été décisive et durable sur tous les guitar heroes… le hard rock, le punk rock, le grunge.