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… Nothing Like The Sun
Tunnel of Love
Trois ans après « Born in the U.S.A », sommet incontestable de sa carrière, Springsteen achève ici la magistrale série de ses grands albums. « Tunnel of Love » alterne les ballades façon « Nebraska » et les morceaux joués avec l’E. Street Band. Au titre des grands moments encore à venir il y aura notamment le splendide « Streets of Philadelphia » (single de 1994).
Sister
Avec le suivant (Daydream Nation), l’album essentiel de Sonic Youth… un essentiel des années 80 aussi. Sans même parler de l’énergie dégagée, il émane de ce tourbillon saturé de guitares mal accordées une harmonie sauvage et savoureuse, propre à pièger le mélomane le plus exigent… Un album « proprement » fabuleux !
Strangeways, Here We Come
Les Smiths ont finalement signé chez une major, mais cela ne change rien à l’esprit du groupe. Ils sortent ce dernier album (précédé la même année de l’excellent « Louder than bombs », compilation de singles) qui est une nouvelle réussite dans un parcours absolument sans faute. Morrissey, qui digère mal le départ de Johnny Marr, dissous le groupe et se lance dans une carrière solo qui sera également brillante.
Floodland
Le caractère instable et la parano d’Eldritch entraînent une valse de musiciens, il se retrouve finalement seul avec la bassiste Patricia Morrison (débauchée de Gun Club) pour enregistrer ce sommet à la fois sépulcral et majestueux. Au sommet de l’album, le sombre et symphonique « This Corrosion »… qui va monter très hauts dans les classements, et reste un modèle du genre.
Robbie Robertson
Onze ans après la séparation du groupe, l’estime et le capital sympathie pour le bon vieux The Band ne pouvait que susciter de l’intérêt pour la première équipée solo de Robbie Robertson, son guitariste. Et cet album éponyme est excellente surprise : aucune trace de nostalgie, mais une créativité renouvelée, totalement en phase avec son temps et même, pour tout dire, plutôt tournée vers l’avenir… un grand bonhomme ce Monsieur Robertson !
Pleased to Meet Me
Son premier guitariste Bob Stinson (fauteur de trouble ?) ayant été viré, le groupe fait, deux ans après Tim, un pas de plus vers la sophistication. Après trois titres plutôt hard, « Nightclub Jitters » installe une ambiance originale, « The Ledge » sonne new wave, « Red Red Wine » célèbre Dionysos (!), « Skyway » est une superbe ballade acoustique… Dernier grand disque d’un excellent groupe qui se séparera en 91.
Sign ‘O’ the Times
Sign O’ The Time est le Sgt. Pepper de Prince, l’un des meilleurs albums de l’année 1987. Comme si l’Innervision de Stevie Wonder auvait passé la nuit avec le Double Blanc des Beatles. Pourquoi est-ce si bien ?!… La touche psychédélique de « The Cross » ? Le synthé à l’envers de « If I was Your Girlfriend » ? L’irrésistible funk de « UGot The Look » ou l’infernale et perverse montée en régime des percussions du morceau titre ?… avec cet album, Prince rend au Rock la relation passionnelle qui lui manquait le plus alors : le mystère !
Actually
Les années 80 étant massivement celles de la programmation et des synthétiseurs, le duo britanique Neil Tennant – Chris Lowe en fait son grain à moudre. Avec aisance, intelligence et un brin d’ironie, ces héritiers d’Eurythmics première façon glissent entre disco, techno-pop et house avec une immense réussite commerciale, et toujours quelques longueurs d’avance sur ses émules.
Up for a Bit with the Pastels
Avant de penser à monter son propre groupe, Stephen Pastel (né McRobbie) s’active dans le milieu des labels indépendants de Glasgow, participant au lancement de groupes au nombre desquels on trouve Jesus & Mary Chain. Le premier album des Pastels affiche une naïveté de façade, sonne retro et atteste d’une affection particulière pour le style de Lou Reed et du Velvet Underground.
The Lion and the Cobra
Le personnage est énigmatique, ambigu, controversé en tous cas, mais les qualités artistiques de Sinéad O’Connor sont incontestables et la dame va s’imposer comme l’une des grandes figures féminines des années 90. Ses compatriotes irlandais de U2 appuient ses débuts (elle se brouillera plus tard avec eux). Admiratrice de Prince, amie de Peter Gabriel, elle négocie à la perfection cette première production (inspirée du Psaume 91 de la Bible !).
Taking Over
Formé à New York en 1984, Overkill se fait surtout remarquer avec ce deuxième album. Sa puissance, sa rapidité, la qualité de son chanteur (Bobby « Blitz » Ellsworth), permettent au groupe de rivaliser alors avec les grands noms du thrash et du speed metal. Il lui manquera cependant la diversité (céativité ?) et il passera au final très largement dans l’ombre de Metallica.
Hard Times in the Land of Plenty
Après un premier album réalisé avec les moyens du bord, un second pour un label régional, Omar & the Howlers sont signés par une major. C’est le lancement d’une carrière internationale. Le groupe se résume alors à un power trio de choc. Ces émules des Fabulous Thunderbirds et disciples de Stevie Ray Vaughan réalisent ici l’un de leurs disques les plus brillants.
So Rebellious a Lover
Carla Olson – la jolie suédoise… née au Texas – déroule une intéressante carrière country-blues ponctuée par de prestigieuses collaborations : Ry Cooder, Don Henley des Eagles, John Fogerty, Mick Taylor… Son deuxième album est réalisé avec l’ex-Byrds Gene Clark (et accueille aussi Chris Hillman). Des duos et de belles ballades très country, très texanes, très américaines !
In the Dutch Mountains
The Nits s’installe progressivement, mais durablement, comme l’un des groupes les plus respectés. « In the Dutch Mountains » contient quelques uns de leur meilleurs titres. L’album est enregistré en studio, mais en prise directe sur un deux pistes. Lorgant vers une certaine tradition folklorique musicale germanique, il affiche une coloration subtile et originale. C’est le premier vrai succès commercial du groupe.
Faith
Après la séparation de Wham!, George Michael devient une énorme pop-star internationale avec les ventes magistrales de ce premier album solo. Des chansons bien écrites, des arrangements sophistiqués, une production parfaitement maîtrisée, tout à fait dans l’air du temps. C’est un peu trop tout cela sans doute… et l’on se demande si le rock peut, à ce point, être commercial ?!!!
Speechless
Albert Lee, guitariste virtuose, compte parmi ses admirateurs Jimmy Page et Eric Clapton, et l’un comme l’autre vont se faire un plaisir de partager avec lui la scène ou les studios. « Speechless » (« sans parole ») est comme son nom l’indique un album instrumental, un petit chef-d’oeuvre où le jeu d’Albert Lee n’est pas sans rappeler celui de son homonyme Alvin (Ten Years After) par la rapidité et une certaine fluidité jazzy… Une grande leçon de guitare qui ne tombe pas un seul instant dans la démonstration !
Darklands
Des guitares un peu moins noisy que sur le premier album, un disque un petit ton en dessous probablement… mais la litanie sombre des frères Reid (Jim, chant et William, guitare) fait toujours effet. L’absence de Bobby Gillespie (Batterie), parti fonder Primal Scream et remplacé par une « drum machine », ne change pas vraiment la donne toujours très métronométriques.
Bad
Sorti 5 ans après « Thriller » (finalement Michael Jackson aura réussi à imposer une légende avec très peu d’albums !), Bad se révèle un peu moins brillant, mais il est extrêmement bien produit par Quincy Jones (pour une dernière collaboration). C’est encore une grandiose série de tubes planétaires.
Kick
Kick est sans doute le sommet de la carrière discographique d’INXS et l’un des grands albums de la décénie. Des tubes efficaces, puissants, accrocheurs : « Guns in the sky », « New sensation », « Devil inside », « Need you tonight »… et par ailleurs aucune faiblesse !
Warehouse: Songs and Stories
Dernier grand album de Hüsker Dü, un double comme Zen Arcade… C’est l’album le plus soigné de tous (avec guitares et voix doublées, effets de studio). Mais c’est aussi le (magnifique) chant du cygne d’un groupe majeur de la décénie et qui aura ouvert la voie aux Sonic Youth, Nivana, Pixies… Hüsker Dü se désagrège au début de l’année suivante.
Bring the Family
Avec son rock immuable et intemporel, John Hiatt appartient aux valeurs sûres du rock américain. « Bring the Family » est enregistré avec un groupe restreint mais prestigieux : Ry Cooder (guitare), Nick Lowe (Basse) et Jim Keltner (Batterie)… un solidité et une simplicité payante : l’album est le plus gros succès de Hiatt.
Sings Beatles and Dylan
Tout au long de sa carrière, à côté de ses propres titres, Richie Havens se distingue par ses reprises de grands classiques du rock. Il rassemble ici ses versions de chansons des Beatles et de Dylan. Il s’agit en fait bien souvent de véritables ré-écritures (« Here comes the Sun », « Rocky Roccoon »…). Une curiosité, mais surtout un album très réussi !
Cloud Nine
Après une série d’albums plutôt décevants, « Cloud nine » marque le grand retour en forme de George Harrison. L’ex-Beatles s’offre même au passage un tube grand public, « Got my mind set on you », comme à la belle époque ! et qui le fait découvrir à un jeune public.