Top Albums Rock
Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been the industry\\\'s standard dummy text ever since the 1500s, when an unknown printer took a galley of type and scrambled it to make a type specimen book. It has survived not only five centuries, but also the leap into electronic typesetting, remaining essentially unchanged. It was popularised in the 1960s with the release of Letraset sheets containing Lorem Ipsum passages, and more recently with desktop publishing software like Aldus PageMaker including versions of Lorem Ipsum.

Dust My Broom
Surnommé « The King of the Slide Guitar » pour son habilité au bottleneck, Elmore James en l’espace d’un titre devint une des grandes figures emblèmatiques du Chicago Blues. Le titre « Dust my Broom » qu’il reprend de Robert Johnson en 1951 devient un standard incontournable que tout bluesman intègre alors à son répertoire de Muddy Waters à Freddie King jusqu’aux anglais Fleetwood Mac et Yardbirds… Chroniqué par Pierre-André Bague

X
Le dernier album essentiel d’INXS, dont les prestations scéniques sont alors tout à fait remarquables… En 1997, Michael Hutchence, son chanteur emblématique, disparaît (suicide dont la thèse a été contestée) et avec lui l’une des très belles voix de l’histoire du rock.

Charmed Life
Le sommet discographique de Billy Idol : une voix totalement maîtrisée, une production absolument parfaite (pour un coût parmi les plus importants de toute l’histoire du rock !)… A retenir, par exemple, la version très musclée du « L.A. Woman » des Doors.

Pills ‘n’ Thrills and Bellyaches
La réussite et le succès phénoménal de cet album constituent l’un des événements majeurs de l’année !… Avec son immense brassage d’idées et de styles différents, ce sommet d’Happy Mondays reste résolument rock. Le groupe va très nettement décliner aussitôt après et disparaître, mais son influence sur la brit-pop d’Oasis et Blur est évidente.

Vegetarians of Love
Punk en 1975, Geldof évolue ensuite vers une musique aux accents dylaniens dont ce disque (son meilleur) est représentatif. En 84 il est l’initiateur du Band Aid qui rassemble des pop stars pour une croisade humanitaire (le single « Do They Know It’s Christmas » est la plus grosse vente anglaise de tous les temps). Il organise l’année suivante le fameux Live Aid (et sera nomminé pour les Nobel !). Il récidive 20 ans après avec le gigantesque Live 8 !

Fresh Evidence
Dernier album de son vivant, « Fresh Evidence » marque le retour de Rory Gallagher au blues… musique qu’il avait quelque peu délaissée dans les 70’s, à partir de l’album « Photo Finish », au profit d’un rock de plus en plus brut. « Fresh Evidence » clos en beauté la carrière du guitariste irlandais qui décèdera 5 ans plus tard des suites de complications lors d’une greffe du foie. Chroniqué par Pierre-André Bague

In a Priest Driven Ambulance
Après leurs débuts souvent très expérimentaux, les Flaming Lips trouvent une certaine stabilité et publient une première oeuvre essentielle et brillante, proche de l’album concept, où le chanteur-leader Wayne Coyne règle un contentieux obsessionnel avec la religion. Le groupe bénéficie alors de l’excellente guitare de Jonathan Donahue, qui fondera peu de temps après Mercury Rev.

Violator
Une formule électro-pop dorénavant parfaitement maîtrisée… Le groupe va exercer une influence importante sur la house, mais plus généralement aussi sur nombre de groupes des années 90 : Smashing Pumpkins, Air, Placebo, Tricky…

Some Friendly
Les Charlatans anglais – à ne pas confondre avec leurs homonymes-ancêtres californiens des années 60 – sont, après les Happy Mondays et Stone Roses, les grands représentants de la scène Madchester (de « Manchester »)… Un premier album aux rythmiques répétitives et mélodies monocordes, qui flirte avec l’étrange (qui pourrait être inspiré tout entier du seul « Tomorow Never Knows » des Beatles !) et deux hits anglais : « The Only One I Know » et « Then ».

No Fences
Garth Brooks est un précédent phénoménal au début des années 90 : il est, avec cet album, le premier artiste country de l’histoire à devenir multi-platinium. Les puristes du genre ne lui pardonne guère alors ce succès « populaire » et commercial. Mais Brooks contribue évidemment à susciter un regain d’intérêt pour ce fond musical très typiquement américain.

Pod
Tandis que Kim Deal fait toujours partie des Pixies, elle sort avec son propre groupe ce premier album qui se vend mieux de « Bossanova ». Ce succès a le goût d’une revanche et Black Francis se sent particulièrement concerné. Il confirme en tous cas le talent d’auteur-compositeur de Kim… un talent sans doute trop peu exploité par les Pixies !

Shake Your Money Maker
Avec son guitariste façon Keith Richards et son chanteur façon Rod Stewart (les frères Rich et Chris Robinson), Les Black Crowes d’Atlanta ressuscitent une musique totalement hors des modes en ce début des années 90. Pas vraiment innovant donc, mais une rock terriblement efficace dans la grande tradition southern qui trouve aussitôt un public considérable.

Persistence of Time
Généralement considéré comme l’autre sommet discographique du groupe (avec Among the Living), Persistence of Time va pourtant être un échec commercial. Le groupe est alors distancé chez les adeptes du genre par les amis/concurents Metallica. Curieusement, l’une des grandes réussites de l’album est « Got the Time », une reprise de Joe Jackson.

Naked City
Artiste totalement inclassable, mais issu du jazz d’avant-garde, saxophoniste et compositeur incroyablement prolifique, John Zorn est un spécialiste de la musique de film. Il pratique le collage musical, expérimente, passe d’une structure vieux jazz au thrash le plus brutal !… Sa créativité tous azimuts peut l’apparenter dans le milieu du rock à un Frank Zappa. « Naked City » est l’une de ses grandes réussites.

L’Eau Rouge
En 1987 le premier album des Young Gods avait été élu « album de année » par le magazine Melody Maker, ce qui est une grande première pour un groupe suisse. Sur ce second album le trio genevois du chanteur Franz Treichler mêle des ambiances de type cabaret (avec textes en français) ainsi que des références à la musique classique à de lourdes guitares échantillonnées et des percussions industrial… Une furieuse originalité à (re-)découvrir impérativement !

Oranges & Lemons
A la fin de la décénie, 10 ans après Drums and Wires, XTC enregistre son « Sgt. Peppers » (ou son « Pet Sounds » si l’on se réfère aux Beach Boys), un double album concept néo-psychédélique (voir la pochette résolument rétro !) auquel le groupe accorde un soin tout particulier. Le disque sera un gros succès aux Etats Unis particulièrement.

Holding Back the River
Wet Wet Wet est un gros succès de fin de décénie, surtout en Angleterre, sur un registre pop soul hyper sophistiqué. « Holding Back the River » est l’un de leurs albums les plus aboutis… même si leur titre phare, un méga tube, est encore à venir : « Love Is All Around », utilisé dans la B.O. du film « Quatre mariages pour un enterrement » et inclus dans l’abum « Picture This » de 1995.

In Step
Avec « Texas Flood », « In Step » est certainement l’un des grands indispensables de Stevie Ray Vaughan. Le guitariste prodige, maître incontesté du blues-rock des années 80, fait – en plus – ici preuve d’un grand sens de l’écriture. Ce sera malheureusement son dernier album, Vaughan, qui venait de se refaire une santé avec un cure de désintoxication, trouve la mort une petite année après dans un accident d’hélicoptère.

Traveling Wilburys Vol. 3
Poursuivant sur leur lancée originale – et malgré le décès de Roy Orbison – les Traveling Wilburys décident de donner une suite à l’aventure et enregistrent un second album qu’ils intitulent, très logiquement « Volume 3 » !!!… Vu les pointures en présence, c’est évidemment très bon !

Mind Bomb
Après 10 ans de travail solitaire, Matt Johnson se décide à constituer un véritable groupe avec notamment Johnny Marr, le guitariste des Smiths. Les rythmes se font plus lents, envoûtants. Les textures musicales sont d’une richesse étonnante. On relèvera la voix de Sinnead O’Connor sur « Kingdom of Rain »… Johnson se donne avec beaucoup de réussite les moyens de sa pop originale et ambitieuse.

Southside
Comme son nom ne l’indique pas, Texas est un groupe écossais, formé en 86 à Glasgow. Leur style country et rock bluesy est également très américain, proche de Ry Cooder. La voix limpide et forte de Sharleen Spiteri et la guitare slide de Ally McErlaine forment la marque de fabrique de ce premier album consistant et remarquable, porté par les tubes européens « I Don’t Want A Lover » et « Everyday Now ».

The seeds of love
Groupe marquant des années quatre vingt, Tears for Fears propose avec cet album leur pièce maîtresse. La chanson titre est un énorme tube, mais l’ensemble du disque est extrêmement consistant. Peu de temps après le groupe (qui était un duo) se sépare et Roland Orzabal (guitare et clavier) continue seul.

The Stone Roses
Avec cet exceptionnel premier album, les Stone Roses de Manchester semblaient promis à un bel avenir. Un subtil mélange de guitares pop des années 60 avec une certaine compréhension du hard des années 70 et de la dance… Le groupe digère mal son succès, se désunit, mais il a des héritiers directs et immédiats : Oasis et Blur s’engouffrent dans la brêche avec la réussite que l’on sait !

A New Flame
Album de la consécration planétaire pour Simply Red malgré un critique rock plutôt frileuse. Michael « Red » Hucknall collabore ici avec Lamont Dozier (du légendaire trio Holland-Dozier-Holland). S’il tente avec talent de faire revivre l’esprit soul dans ses propres compositions, il connaît ses plus remarquables succès avec des reprises et adaptations, comme le célèbre « If You Don’t Know Me by Now » !