hard rock
The « hard rock » is essentially from blues-rock, it is distinguished in particular by its burning riffs and its saturated guitars.
Among the great precursors we find, in England, the Rolling Stones, Cream and the Who, in the United States, Steppenwolf or Cactus. But the real archetype will be offered at the end of the 60s by Led Zeppelin, Deep Purple and Black Sabbath.
Houses of the Holy
Led Zeppelin est à l’époque le groupe titanesque par excellence, et ce n’est pas un hasard, ses 6 premiers albums du groupe tutoient la perfection ! Houses of the Holy amorce une diversification et atteste d’un intérêt pour les musiques ethniques, que Robert Plant notamment développera en solo. Les riffs de Jimy Page sont, par ailleurs, toujours aussi cinglants.
Still Alive and Well
Sans jamais vraiment accéder au statut de rock star, Johnny Winter, lead guitar surdoué et remarquable chanteur, n’en demeure pas moins une référence pour tout amateur de blues rock. Il commence sa carrière à la fin des années 60. « Still alive and well », est l’album de la renaissance (comme son nom l’indique) au sortir d’une sévère cure de désintoxication.
Toys in the Attic
Formé autour du chanteur Steven Tyler et des guitaristes Joe Perry et Brad Whitford, le groupe qui assure à cette époque des premières parties de Mott The Hoople et Blue Oster Cult va devenir une institution du hard rock américain et l’un des groupes les plus populaires des années 70. « Toys in the Attic » est tout simplement excellent, avec notamment l’inusable riff de « Walk This Way » !
Too Old to Rock ‘N’ Roll: Too Young to Die!
« Trop vieux pour le rock-n-roll, trop jeune pour mourir », peu de temps avant le grand questionnement punk la formule accrocheuse fait sourire et connaît une certaine fortune ! Mais, derrière la jolie petite phrase, cet album concept censé aborder sur le statut de la rock star représente certainement un effort mineur dans la belle discographie du groupe. A retenir pour quelques bons moments, quelques belles parties de guitares… et pour le titre !
George Thorogood & the Destroyers
Joueur de baseball, George Thorogood décide en 1970 de passer au blues ! Les puristes du blues diront toujours de lui que ce n’est pas du blues et les puristes du rock que ce n’est pas du rock. Mais ses reprises de John Lee Hooker « One Bourbon, One Scotch, One Beer » et d’Elmore James « Madison Blues » font mouche pour ce premier album.
The Who Sell Out
Une pochette punk bien avant l’heure, un bric-à-brac (foutoire ?!) sonore avec des extraits de radios pirates… le plus dégenté des groupes anglais des sixties livre un album concept marqué par une prostective délirante et tous azimuts… Mais dès que ça redevient « sérieux », ça donne des chansons d’une qualité exceptionnelle !
The Allman Brothers Band
Avec leur cocktail blues-rock/country-music et quelques flirts jazzy, les Allman Brothers vont être un des groupes américains les plus en vue du début des années 70. Ils se distinguent notamment par la fabuleuse guitare de Duane Allman (son jeu de slide incomparable) et la voix de son frère Greg, le clavier de la formation.
Spooky Two
Apparu en Angleterre à la fin des années 60, Spooky Tooth se forge assez vite une belle réputation. Sur fond de blues rock le groupe installe des climats originaux, proche de l’étrange, et s’inscrit donc aussi dans un courant progressiste. Ce bien nommé deuxième album est tout particulièrement réussi.
Thank Christ for the Bomb
Tony McPhee est un disciple des premières heures du British Blues, mais aussi de John Lee Hooker qu’il accompagne en tournée. Il est l’un des meilleurs quitaristes anglais du début des années 70 et il atteint son sommet à cette époque, développant avec ses Grounghogs un style tout en finesse et parfaitement distinctif. « Thank Christ for the Bomb » est une petite merveille produite par McPhee en collaboration avec Martin Birch, l’ingénieur du son tout récent d’un certain « Deep Purple in Rock » !
Triangle
Aucun adepte francophone de Deep Purple ou Led Zeppelin ne pouvait à l’époque passer à côté de Triangle. Mais le groupe a surtout été l’un des premiers en France (avec Martin Circus première mouture) à ouvrir la voix des radios pour trouver une large audience. « Peut-être demain » – un véritable tube alors ! – et son fameux bruit de bottes en intro, c’est un peu sans doute l’écho lointain des premiers pas du rock français !
The Cry of Love
Le premier album studio postume… l’ensemble du matériel était prêt, ou presque. Outre les habitués, Billy Cox (basse) et Mitch Mitchell (batterie), les sessions comprennent Stephen Stills au piano, ainsi que Steve Winwood et Chris Wood de Traffic. « Esy Rider », « Angel » ou « Drifting » font partie des derniers grands standards d’Hendrix… Un album superbe !
The Rise and Fall of Ziggy Stardust
Sacré « meilleur disque de la année » , Ziggy Stardust raconte l’histoire d’une rock star débarquée d’un autre monde. Bowie s’inspire de Vince Taylor (le plus « scandaleux » des pionniers du rock-n-roll !) et de « 2001 Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick. Toujours accompagné de son fidèle guitariste Mike Ronson, Bowie réalise un sommet du glam… un album parfait !