hard rock
The « hard rock » is essentially from blues-rock, it is distinguished in particular by its burning riffs and its saturated guitars.
Among the great precursors we find, in England, the Rolling Stones, Cream and the Who, in the United States, Steppenwolf or Cactus. But the real archetype will be offered at the end of the 60s by Led Zeppelin, Deep Purple and Black Sabbath.
Yeah!
Brownsville Station est sans doute le premier groupe de rock à s’intéresser au reggae en enregistrant « Let Your Yeah Be Yeah » de Jimmy Cliff. Leurs autres reprises sont marquantes : « Question of Temperature », « Lightnin’ Bar Blues », « Sweet Jane », « Love, Love, Love »… Mais c’est avec un titre maison, « Smokin’ in the Boy’s Room », que le groupe décroche son premier hit (qui sera d’ailleurs à son tour repris en 1985 par Mötley Crüe).
Raw Power
Remis en selle par David Bowie, grand amateur des excenticités les plus déjantées, Iggy Pop bat le rappel des troupes et entre en studio pour l’enregistrement de ce « Raw Power » à la brutalité incandescente… Un disque totalement culte pour les amateurs du genre.
Second Helping
Avec son mélange de blues, de country rock, et ses 3 guitaristes, Lynyrd Skynyrd est considéré comme le digne successeur des Allman Brothers. Entre le mythique « Sweet home Alabama » et « Call me the breeze » (une reprise de J.J. Cale), le groupe réalise ici l’album parfait.
Rocks
Peu de temps après « Toys in the Attic », Aerosmith réalise un nouveau sans faute avec cet album au titre bien senti et nouvelle pièce maîtresse de leur discographie. « Back in the Saddle », « Last Child » et « Sick as a Dog » vont devenir de grands standards du groupe.
A Night on the Town
Rod Stewart quitte officiellement les Faces en 76 (Ron Wood, lui, rejoint les Stones). Il assume désormais pleinement un statut de super star. A Night on the Town est un album où il s’implique profondément. C’est, dans le droit fil d’Atlantic Crossing, un album typiquement américain… même s’il choisit Renoir et « Le Moulin de la Galette » pour en orner la jaquette !
Disraeli Gears
Le très bon premier album de Cream restait très marqué par le blues. Mais le groupe donne avec « Disraeli Gears » toute la mesure de son talent en affirmant son originalité… Marqué par le psychédisme ambiant (voir la pochette !), un grand disque du mythique trio… et Clapton va devenir « God » !
L’album est sorti en novembre 1967. L’album est un mélange de styles blues, jazz, psychédélique et hard rock. L’album a été classé 47e sur la liste des 500 meilleurs albums de tous les temps de Rolling Stone.
Il a été classé 47e sur la liste des 500 meilleurs albums de tous les temps de Rolling Stone.
This Was
Le premier Jethro Tull atteste d’influences multiples le blues essentiellement, grâce au guitariste Mick Abrahams, mais également le jazz, la musique folklorique… La voix particulière du leader Ian Anderson et sa flûte omniprésente donne une couleur très originale à ce groupe qui va prendre une place considérable entre rock, folk et musique progressive.
Volunteers
Jefferson Airplaine livre avec « Volunteers » une véritable manifeste de la contre-culture californienne. Au niveau du sens, c’est un jalon historique, une sorte de « Never Mind The Bollocks » dans sa décénie. Avec musicalement le renfort d’une pléiade d’artistes : Nicky Hopkins (piano), Jerry Garcia du Grateful Dead, Stephen Stills et David Crosby, le groupe découvre aussi à cette occasion les possibilités du studio 16 pistes !
Deep Purple in Rock
Sous l’influence de son organiste John Lord, Deep Purple avait commencé par des essais plutôt décevants de fusion entre rock et musique classique. Le groupe trouve ici sa véritable identité et inscrit définitivement, au côté de Led Zeppelin, l’une des grandes pages du hard rock de l’époque, avec notamment les titres mythiques « Speed king » et « Child in time » (auxquels il faut ajouter le single « Black Night » sorti à la même époque, présent sur les éditions bonus).
Lord Sutch and Heavy Friends
C’est durant l’hiver 1970 que va sortir cet album unique produit par Jimmy Page. Sorte de condensé de heavy rock post Yardbirds et d’une inspiration gothique maladive et irrationelle de l’auteur. Toute la fine fleur du rock anglais va etre là, derrière Lord Sutch, sur le disque : de Jeff Beck à Noel Redding en passsant par John Bonham pour une douzaine de chansons dont l’outrage et la démesure préfigure le punk à venir… Chroniqué par Fred Weber
Crazy Horse
Aucun fan de Neil Young ne pouvait rester insensible à la sortie du premier album de Crazy Horse. D’autant plus que, comme pour le Band dans le cas de Dylan, le groupe a son énorme potentiel intrinsèque. Et cet album éponyme est une parfaite réussite ! (à ranger à côté des meilleurs CSN&Y;)… Du grunge avant l’heure, avec même des presque classiques : La ballade « I Don’t Want to Talk About It » sera reprise par Ian Matthews, Rod Stewart et Everything But The Girl.
Teenage Licks
Stone the Crows avait tout pour réussir, des critiques unanimement élogieuses, une excellent guitariste (Les Harvey), une extraordinaire chanteuse, Maggie Bell, véritable Janis Joplin écossaise… et Peter Grant, le producteur de Led Zeppelin, comme manager ! Malgré ces atouts et l’indéniable qualité de ce superbe troisième album, le groupe ne parvient pas à simposer et se séparera en 1973.