Les albums rock de 1986

3rd degree johnny winter 1986

3rd degree

Lorsque Johnny Winter est décédé en 2014, il avait l’une des voix les plus distinctives de la guitare rock et blues, une voix qui servait de symbole de la puissance brute et débridée du genre.

Winter est né dans le Mississippi en 1944 et a grandi à Beaumont, au Texas. Il a été initié à la guitare dès son plus jeune âge par son frère Edgar (plus tard connu sous le nom de producteur Rick), et a fait preuve d’un talent prodigieux ; il jouait professionnellement à l’âge de 11 ans. La carrière de Winter a commencé deux ans plus tard avec une séance d’enregistrement pour Mercury Records qui a donné la ballade »Be Careful With a Fool ». Il a enregistré onze albums pour Columbia Records entre 1965 et 1969 à Nashville, Tennessee, avant de passer à MCA Nashville Records.

En 2004, Johnny se retrouve sur Columbia Records suite à sa sortie de M

Le musicien albinos du Texas a connu son apogée dans la seconde moitié des années 1980 et a sorti des albums que ses fans peuvent encore entendre aujourd’hui. Une maîtrise absolue pour jouer de la guitare ou du dobro. Ceux-ci comprenaient des titres très acclamés tels que « 3rd degree » et « The winter of ’88 ».

 

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Atomizer

Atomizer

Parfois oublié des anthologies, Big Black est pourtant un groupe charnière. Punk dans la démarche, indie intégral, sans aucun tabou au niveau des textes, Steve Albini est l’un des premiers tenants de la combinaison guitares metal/boîte à rythmes qu’on retrouve dans l’industrial. Le groupe se sépare rapidement après deux albums, mais on retrouvera Albini à la console et la production de quelques chef-d’oeuvres (« Surfer Rosa » des Pixies ou « In Utero » de Nirvana).

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Back in the high life

Back in the high life

L’ex-chanteur du légendaire Spencer Davis Group du début des années soixante, puis chanteur-leader de Traffic, revient à son meilleur niveau avec cet album au titre évocateur. Tout en restant très « soul » sur le fond, il tire le meilleur parti des nouvelles technologies pour une réalisation très rock FM.

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Blind Leading the Naked

Blind Leading the Naked

Le troisième album des Violent Femmes, produit par Jerry Harrison des Talking Heads, est sensiblement plus rock et plus électrique que ses prédécesseurs. La texture country-folk du départ s’étoffe. Parmi les grandes réussites du disque, une excellent reprise de « Children of the Revolution » de T. Rex.

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Chris Isaak

Chris Isaak

Chris Isaak continue à revisiter le son des années cinquante, avec guitares façon Shadows… Il reprend aussi les Yardbirds Heart (« Full of Soul »). Curieusement ignoré aux Etats Unis, la France est le seul pays où il s’impose vraiment, avec le gros succès de « Blue Hotel » notamment.

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Different Light

Different Light

Le succès des Go-go’s donne des idées à d’autres groupes féminins californiens. Et les Bangles s’engouffrent dans la brêche avec un gros succès au milieu des années 80. Après un premier album influencé par les Mama’s and Papa’s, « Different Light » confirme la qualité du groupe. Prince écrit spécialement pour elles « Manic Monday », mais les filles savent aussi composer. Le groupe qui comprend les soeurs Vicki et Debbi Peterson, Susanna Hoffs et Micki Steele (ex-Runaways), va cependant vite décliner.

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Eat 'Em and Smile

Eat ‘Em and Smile

Le chanteur David Lee Roth quitte le groupe Van Halen en 85 pour devenir en solo l’archétype même de la star hard rock. Personnage haut en couleur, grand amuseur public machiste, il additionne les clichés dans la bonne humeur, mais maîtrise aussi parfaitement son sujet. Soutenu par l’excellente guitare de Steve Vai, « Eat ‘Em and Smile » est un cocktail hard pop des plus réjouissants.

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EVOL

EVOL

Issu de la mouvance punk, héritier du Velvet et des Stooges, Sonic Youth est un incontestable précurseur et leader du rock alternatif et underground. Avec EVOL le groupe quitte son minimalisme artistique initial pour une texture musicale plus dense, tout en restant très noisy et expérimental.

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Express

Express

Après la séparation en 1983 du légendaire Bauhaus, pionnier du rock gothique, ses membres (à l’exception de Peter Murphy) échangent les ambiances oppressantes pour une pop aérienne néo-psychédélique. Avec « Express », le groupe s’assure une audience considérable aux Etats Unis et en Angleterre.

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Get Close

Get Close

La première partie de l’histoire des Pretenders s’achève sur un sommet discographique (le plus gros sucès commercial du groupe), cet album parfaitement réussi qui se termine sur un « Room Full Of Mirrors » de Jimi hendrix plutôt bien digéré et méconnaissable !

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God's Own Medicine

God’s Own Medicine

Formé en 1986 autour des ex-Sisters Of Mercy Wayne Hussey (guitare, chant) et Craig Adams (basse), The Mission, plus proche de Simple Minds que du heavy métal, s’en distingue assez nettement. Une thématique religieuse omniprésente… Un bel exemple d’une pop-gothique soignée.

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Graceland

Graceland

Album révolutionnaire dans la carrière de l’artiste : Paul Simon découvre l’Afrique du Sud et son patrimoine musical. Au terme d’une véritable immersion, il y trouve une nouvelle source d’inspiration. Il réalise ce chef d’oeuvre avec de multitudes collaborations locales… et contribue à populariser la world music émergeante à la plus grande échelle.

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Greetings from Timbuk 3

Greetings from Timbuk 3

Texan d’adoption, le duo Barbara et Pat MacDonald remporte un important succès aux USA avec ce premier album et le hit « The Future’s So Bright »… Des textes intelligents à l’humour souvent grinçant et un folk rock qui pourrait sembler convenu s’il n’était – originalité – soutenu par des rythmiques et des effets synthétiques très new wave. La formule fera mouche à nouveau avec les albums suivants.

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Guitar Town

Guitar Town

Installé à Nashville, Steve Earle s’inscrit dans une lignée rock très américaine : country/rockabilly/Creedence/Springsteen… Il s’affirme très vite comme un remarquable compositeur et ce premier album est une véritable bombe dans son genre (Bruce Springsteen, himself, en aurait acheté 10 exemplaires dès sa sortie !).

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I Against I

I Against I

L’album essentiel des Bad Brains ! (on le compare parfois à ce qu’à été « London Calling » pour Clash)… Rageur ou soudain étonnement mélodique, il se distingue par une très grande diversité de styles. C’est en tous cas, incontestablement, un très haut sommet !

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In the Army Now

In the Army Now

Pas vraiment un disque d’anthologie, juste de bonnes grosses guitares, des rythmes bien carrés… et, en cette année 86, le tube « In The Army Now » qui envahit les radios européennes… pour squatter la bande FM pendant de longues années encore !

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Infected

Infected

Dans la ligne de « Soul Mining », ça reste toujours aussi dansant et fluide. Toujours aussi originale, avec des orchestrations réservant des suprises à chaque instant (des choeurs gospel par exemple sur « Angel of Deception »). The The n’est pas un groupe, mais un projet musical à géométrie variable. Matt Johnson retrouve ici son instrument de base, la guitare, qui était quasiment absente du précédent album.

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Invisible Touch

Invisible Touch

L’autre Genesis, celui de la prédominance de Phil Collins, celui des tubes planétaires. Tout cela n’a plus grand chose à voir avec l’épopée artistique du rock progressif des débuts. Mais la notorité est immense, la réussite commerciale aussi. Le groupe n’est alors plus qu’un trio : Phil Collins, Tony Banks et Mike Rutherford.

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King of America

King of America

Après 11 albums en 9 ans, dont une grosse poignée de chef-d’oeuvres (les 8 premiers au moins !), Elvis Costello (alias Declan Patrick McManus) publie un nouvel essentiel. Enregistré sans les Attractions, mais avec des musiciens de studio de Los Angeles, l’album a une coloration country californienne. On y trouve une belle version du « Don’t Let Me Be Misunderstood » des Animals.

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Liberty Belle and the Black Diamond Express

Liberty Belle and the Black Diamond Express

Un son cristalin, propre… une pop aérienne, totalement formatée pour les radios… les Go-Betweens font recette, sans pour autant décrocher jamais de véritables hits. Ca rappelle souvent les Byrds, voire Simon and Garfunkel. C’est magnifiquement fait.

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London 0 Hull 4

London 0 Hull 4

Au delà du virtuel score sans appel infligé à la capitale par la ville portuaire de Hull (!), The Housemartins est une institution britanique et l’une des réussites historiques du rock indépendant. Après deux albums remarquables proches des Smith, le groupe se séparera pour écrire, dans le prolongement, une histoire toute aussi intéressante qui prendra pour nom The Beautiful South…

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Look What the Cat Dragged In

Look What the Cat Dragged In

Glam metal ultime, Poison emboîte dès ce premier album le pas de Mötley Crüe. Un succès commercial immédiat et tout à fait considérable qui égale celui des Bon Jovi ou Def Leppard. Malgré son déclin au début des années 90, le groupe va demeurer une grande attraction populaire… Une musique pop metal qui a ses adeptes, mais que d’autres trouveront aussi à juste titre parfois sirupeuse !

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Manic Pop Thrill

Manic Pop Thrill

That Petrol Emotion naît sur les cendres des Undertones : John et Damian O’Neill s’associent avec l’ex-D.J. Reámann O’Gormain, irlandais comme eux, et qui récupère une guitare. Ils s’installent en Angleterre où ils deviennent un fer de lance du milieu indépendant. Entre punk noisy, expérimentation sonore et mélodies atmosphériques, le groupe ne tranchera jamais vraiment proposant des albums à la diversité réjouissante.

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Master of Puppets

Master of Puppets

Metallica devient progressivement une véritable institution, le méga groupe de toute une génération… Des mélodies simples, un son ultra puissant, une vitesse effrennée. « Master of puppets » est incontestablement un sommet discographique du groupe, c’est une référence de la décénnie et un énorme succès commercial.

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No. 10, Upping St.

No. 10, Upping St.

« This Is Big Audio Dynamite » avait été une surprise, mais une grosse poignée de titres étaient plutôt décevants. Le deuxième album, qui développe et confirme le style, est nettement plus convainquant. Mick Jones et Joe Strummer sont réconciliés, l’ex-complice des Clash vient même prendre une part très active en co-écrivant plus de la moitié du matériel et co-produisant l’album.

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Not of This Earth

Not of This Earth

Guitar hero des années 80 (et suivantes), Joe Satriani impose dès ce premier album instrumental son style. Une technique et une fluidité de jeu époustoufflantes et une influence énorme sur tous les guitaristes de heavy metal, bien que sa production personnelle reste plutôt soft et se distingue par une production au raffinement infiniment sophistiqué.

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On the Beach

On the Beach

Une voix rauque et un style proche du laid-back de J.J. Cale, des guitares slide qui rappellent l’ambiance des Pink Floyd paisibles, Chris Rea propose avec « On The Beach » un album à l’image de sa carrière, tranquille et qui fleure bon la vie simple. Succès européen, ce disque impose tout particulièrement le guitariste italo-irlandais en France.

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Parade

Parade

Prince, artiste prolifique et insaisissable, surprend, change de look, produit à tour de bras. Entre rock et funk ultime, « Parade » est déjà le 8ème album et servira de bande originale à un second film « Under the cherry moon ». Branché à l’époque, comme il l’est encore aujourd’hui, le disque affiche une totale cohérence musicale.

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Peace Sells... But Who's Buying?

Peace Sells… But Who’s Buying?

Le guitariste Dave Mustaine quitte Metallica en 83 et va fonder Megadeth. Chanteur-compositeur-producteur, il va faire du groupe l’un des principaux représentants du speed metal américain au côté de Slayer. Megadeth atteint la reconnaissance notamment avec ce puissant second album.

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Peter Case

Peter Case

Peter Case appartient avec The Nerves à une certaine légende américaine. Il connaît ensuite le succès avec les Plimsouls. Mais malgré ces brillants antécédents sa carrière solo n’explosera jamais vraiment. Cet artiste, culte pour beaucoup, cérébral parfois opaque, sait aussi se rendre très accessible comme avec ce premier album, où l’on retrouve une belle brochette d’artistes : Roger McGuinn, John Hiatt, Jim Keltner et T-Bone Burnett qui assure la production…

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Reign in Blood

Reign in Blood

En 86 la réputation sulfureuse de Slayer n’est plus à faire. Sa litanie Death ultra-violente se double de ce qu’on peut prendre pour une apologie de la torture ou du fascisme. Tout le monde ne prend pas cela au second degré et des factions néo-nazis investissent les concerts en faisant fuir une bonne partie du public !… Mais « Reign in Blood » est sans conteste le sommet trash-metal des années 80, avec le « Master Of Puppets » des concurents Metallica. Chroniqué par Euhlain

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Should the World Fail to Fall Apart

Should the World Fail to Fall Apart

La réussite du parcours en solo de Peter Murphy est indéniable et conséquente. Le Chanteur aura pourtant du mal à faire oublier le légendaire Bauhaus et reste avant tout pour le plus grand nombre l’ex-chanteur de ce pionnier gothique. Son premier album jouit d’une production raffinée. Et si la majestueuse voix grave de Murphy est reconnaisable, l’ensemble sonne plus aéré, nettement moins oppressant que Bauhaus.

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Skylarking

Skylarking

En 1982 XTC décide (comme les Beatles !) de ne plus se produire sur scène. Skylarking est un album intimiste et à thématique bucholique, où les oiseaux gazouillants sur Summer’s Cauldron sont tout de même très ouvertement synthétiques ! Après avoir sollicté vainement Brian Eno, le groupe fait appel à Todd Rundgren pour la production.

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Slippery When Wet

Slippery When Wet

Avec une formule métal-pop hyper efficace, croisement génétique entre des guitares Van Halen et le gros coeur de Bruce Springsteen, Bon Jovi s’assure une audience mondiale considérable à partir de ce troisième album. Généralement considéré comme le meilleur, « Slippery When Wet » contient en effet les titres qui vont devenir les standards essentiels du groupe en concert.

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Somewhere in Time

Somewhere in Time

Iron Maiden réussit ici à briser ce qui est devenu sa propre caricature, à transcender ses clichés, et donc ceux du genre… Cela donne un album très intéressant de transition vers une démarche plus « progressive ».

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Strong Persuader

Strong Persuader

Robert Cray jugeait le blues ringard jusqu’à ce qu’il voie Albert Collins jouer dans son lycée. On dit de lui qu’il a inventé le « Blues FM », mais Robert Cray montre avec ce « Strong Persuader » qu’il n’a rien à envier à ses contemporains. Resté longtemps dans l’ombre de Stevie Ray Vaughan ou autre Gary Moore… il lui faudra attendre ce 5ème album avec son tube « Smoking Gun » pour obtenir la reconnaissance mondiale et voir son nom rejoindre les grands… Chroniqué par Pierre-André Bague

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The Colour of Spring

The Colour of Spring

Album central (le 3ème sur 5) et charnière dans la disographie du groupe, « Colour of Spring », qui accueille Steve Winwood aux claviers, amorce la transition de la pop brillante et sophistiquée (façon Roxy Music) vers les expérimentations à venir. Les rythmes et les orchestrations se complexifient insidieusement, donnant une tonalité originale à ce bel ensemble qui reste encore très grand public.

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The No Comprendo

The No Comprendo

Le duo constitué par Catherine Ringer et Fred Chichin, difficilement comparable avec quoique ce soit d’autre, est l’une des remarquables originalités hexagonales des années 80. Entre folie douce et rythmiques puissantes (mais aussi souvent très subtiles), ce deuxième album rassemble une série de tubes délirants qui va toucher un très large public. Il est réalisé avec Tony Visconti, producteur des T. Rex et David Bowie.

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The Queen is Dead

The Queen is Dead

Le chef d’oeuvre des Smiths ! considéré comme ce qui est probablement le meilleur disque de la décénie !… Sommet d’une carrière relativement brêve, mais étincelante, qui a ouvert les portes à de nombreux autres groupes (la brit-pop des années 90, Oasis, etc) et fait souffler sur le rock indépendant un grand vent d’optimisme.

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Then and Now... The Best of the Monkees

Then and Now… The Best of the Monkees

L’arrivée du support CD, au milieu des années 80, ouvre l’ère des multiples ré-éditions… Si l’on admet qu’il n’est pas forcément indispensable de posséder la discographie intégrale des Monkees, cette compilation – probablement la meilleure – est une excellent alternative. Elle rassemble tous les principaux tubes du groupe.

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Think Visual

Think Visual

Devenus attraction et curiosité british, Ray Davies (alors conjoint de Chrissie Hynde des Pretenders) et les Kinks tournent beaucoup et poursuivent leur production discographique dans les années 80. « Think Visual », diversement apprécié par les critiques, va même (et malgré cela) entrer alors dans les 20 meilleures ventes aux USA.

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This Side of Paradise

This Side of Paradise

Alors que les Cars existent encore, son leader entame une carrière indépendante dès 1982. Il s’était déjà distingué comme producteur du premier album de Suicide, et va continuer à produire dans les années 80 et 90 : Bad Brains (Rock for Light), Romeo Void (la compil. Warm In Your Coat), Hole, Bad Religion, Weezer, Nada Surf, Jonathan Richman… Quand il travaille pour lui, c’est aussi souvent très bon !

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True Blue

True Blue

C’est avec « True Blue », et grâce à un investissement personnelle considérable, que Madonna accède véritablement à son statut de super-star. Madonna contrôle tout. Et si tout est savamment calculé pour obtenir un impact maximum, la qualité artistique est incontestablement au rendez-vous aussi. « Papa Don’t Preach » devient le nouvel hymne des ados en rupture avec le cocon familial !

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Under the Sign: The Sign of the Black Mark

Under the Sign: The Sign of the Black Mark

Quorthon, le furieux chanteur de Bathory, apparaît à la fin des années 80 comme une incarnation même du black metal. Les amateurs de metal extrême tournent alors les regards vers la scandinavie d’où déboule, comme un torrent de lave en fusion, la nouvelle invasion viking ! « Under the Sign », album de référence, marque pour le groupe une avancée notoire où la technique et le professionnalisme servent un contenu sans le moindre répit… à couper le souffle !

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