disco
Le disco est un genre musical et de danse qui a vu le jour aux États-Unis au milieu des années 1970. C’est une combinaison de funk, de soul, de pop, de salsa et de musique psychédélique, qui a connu son pic de popularité à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Le terme « disco » vient du mot français « discothèque », qui signifie « boîte de nuit ».
Ce genre musical a ensuite été popularisé par des groupes de disco comme Donna Summer, KC et le Sunshine Band, ainsi que par des groupes new-yorkais comme les Bee Gees.
Le disco a d’abord été perçu comme un moyen d’atteindre les jeunes, mais il a depuis été utilisé par de nombreux promoteurs différents. Comme le disco est devenu une grande partie de la culture pop, il est également devenu une partie importante de l’industrie musicale.
Il est joué sur divers instruments, dont des tambours, des guitares, des pianos et des voix. Il est joué pendant les heures tardives de la nuit et a généralement un tempo lent.
Diana Ross Presents the Jackson 5
Poussés par leur père à monter sur scène au début des années 60, puis parrainés par Diana Ross (The Supremes), les ados de la « tribu » Jackson vont devenir la coqueluche de l’Amérique (aussi bien noire que blanche) et le nouveau groupe moteur de chez Tamla Motown. On trouve ici leur premier tube « I Want You Back ».
ABC
Les Jackson 5 entament une impressionnante série de tubes « The Love You Save », « ABC »… La voix enfantine de Michael (12 ans) et la joyeuse ambiance juvénile font sensation. Le groupe devient l’une des affaires commerciales les plus intéressantes de la production discographique américaine du début de la décénie !
Can’t Get Enough
Véritable dieu de la soul, Barry White enregistre avec ce troisième album deux de ses plus grands succès: « You’re the First, the Last, My Everything » et « Can’t Get Enough of Your Love, Babe ». Outre ces morceaux, « Can’t Get Enough » propose l’un des plus beaux slows de l’artiste: « I Can’t Believe You Love Me » et un instrumental, « Mellow Mood », en deux parties qui ouvre et clôture l’album. Un premier pas dans ce que sera le disco dans les années 80 ?… Chroniqué par Jérôme
Main Course
Depuis le milieu des années soixante les frères Gibb ont déjà aligné des dizaines de tubes. Mais dans la volumineuse discographie des Bee Gees, cet album est généralement considéré comme un « must », avec un net retour au sources rhythm-n-blues… On est juste avant la vague disco dont ils vont être l’un des principaux acteurs.
That’s the Way of the World
Parti de la soul et du funk, Earth Wind And Fire va flirter avec de très nombreux styles : jazz, gospel, blues psychédélique, pop-rock, musique africaine et musique urbaine, disco… Cet album occupe une place médiane au coeur de tous ces courants, s’il n’en fallait qu’un seul pour appréhender la carrière du groupe ce serait donc celui-ci. Cette bande originale du film du même nom est par ailleurs l’une de leurs plus grosses ventes.
Gratitude
Tandis qu’Earth Wind And Fire donne sur scène un incroyable show souvent clownesque et fortement théâtralisé, il manquait encore étonnement à la discographie du groupe un grand album live… Cette carence est réparée avec les 66 mn de ce très bon Gratitude !
Avec les cuivres qui brillent, les percussions qui martèlent, les guitares tour à tour tranchantes ou sensuelles, la section rythmique qui tient son groove avec flegme et savoir-faire, et le chant qui chante divinement bien, de la fusion Africano/Power.
Spirit
La bande à Maurice White, le fondateur batteur-chanteur du groupe, et Philip Bailey, son charismatique lead-singer, se fait très disco, mais affiche aussi une orientation résolument mystique mêlant philosophie spiritualiste et christianisme afro-américain… un rapport entre funk et religion plus tard poussé à son sommet par Prince.