Top Albums Rock
Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been the industry\\\'s standard dummy text ever since the 1500s, when an unknown printer took a galley of type and scrambled it to make a type specimen book. It has survived not only five centuries, but also the leap into electronic typesetting, remaining essentially unchanged. It was popularised in the 1960s with the release of Letraset sheets containing Lorem Ipsum passages, and more recently with desktop publishing software like Aldus PageMaker including versions of Lorem Ipsum.

The Soul of Ike and Tina Turner
Ike et Tiner Turner, dont la carrière débute dans les années 50, vont passer du rhythm-n-blues au rock sans difficulté et populariser la soul music tout à long des années soixante… Ceci est le premier album de celle qui est aujourd’hui la mamy la plus sexy du rock !

The All-Time Greatest Hits
Edité en 1976 par sa première maison de disque (Monument), un album qui rassemble les hits marquants de la première période de Roy Orbison, immense chanteur américain : « Only the Lonely » et « Blue Angel » (60), « Dream Baby » (62), « Running Scared » et « Crying » (61), « Blue Bayou » et « Mean Woman Blues » (63), la fameuse « Pretty Woman » (64) à laquelle Julia Roberts prêtera ses traits, bien plus tard, sur le grand écran !

I Hear a New World- An Outer Space Music Fantasy
Né en 1928, membre des Tornados au début des années 60 (il signe le tube instrumental « Telstar »), Joe Meek est avant tout producteur. Génie fou pour certains (paranoïaque, schizophrène), précurseur de génie pour les autres, il expérimente avant tous les manipulations électroniques, les bandes à l’envers et autres « bidouillages » (fabriquant lui-même ses réverbes). Il fait quelques gaffes aussi, laissant filer avec dédain les Beatles ou David Bowie !… Le travail de Meek ne sera publié que dans les années 90 (25 ans après qu’il se fût donné la mort)… Stupéfiant !

The Memorial Album
Le faux borgne Johnny Kidd marque le rock anglais des années pré-Beatles. Il enregistre peu, ses EP/albums sont introuvables, il donc faut se rabattre sur les compilations, comme ce « Mémorial » publié au milieu des années 70. Le standard « Shakin’ All Over », n°1 en 1960, est ré-enregistré en 65 quand les Pirates recrutent Mick Green, un guitariste à l’influence considérable (sur Pete Townshend et le hard rock à venir).

Rockin’ with Wanda!
On a dit du rock-n-roll qu’il était « une musique de mec faite pour les filles ». Wanda Jackson est sans doute la premère exception à cette « règle » et, lorsqu’elle commence à enregistrer chez Capitol, on la perçoit dans la maison comme un « Gene Vincent au féminin ». La chanteuse vient du country (et y retournera) mais rapidement tous ses 45 trs comportent une face rock-n-roll. « Rockin’ with Wanda! » rassemble ses meilleurs titres des années 50… et c’est potentiellement le meilleur album rock féminin de cette époque !

That’s My Story
Avec plus d’un demi siècle de carrière, John Lee Hooker va devenir une superstar du blues et le gros vendeur du genre ! On lui doit quasiment l’invention du boogie qui fera les belles heures de nombreux groupes de rock (comparer « No More Doggin' » avec le fameux « On the Road Again » de Canned Heat !). Bien qu’il enregistre déjà depuis plus de 15 ans, c’est seulement au début des années 60 que sa production se structure… époque à laquelle on peut facilement retrouver ses albums.

The Fabulous Style Of The Everly Brothers
Les Everly Brothers collectionnent les succès. Au titre des très nombreux hits, cet album contient notamment : « Bird Dog », « All I Have To Do Is Dream », « ‘Til I Kissed You », ainsi qu’une version anglaise du fameux « Je t’appartiens » de… Gilbert Becaud ! (« Let It Be Me »)

Memorial Album
L’une des premières compilations posthumes d’Eddie Cochran… Excellent guitariste et remarquable compositeur, il laisse à l’histoire des standards comme « Summertime Blues », « Somethin’ Else » ou « C’mon Everybody », qui vont être repris par de multiples artistes tels les Beach Boys, les Who, Led Zeppelin… mais aussi Stray Cats ou les Sex Pistols !

The Genius Hits the Road
L’univers muiscal de Ray Charles est immense. Le « Genius » va explorer tous azimuts : jazz, country, pop, musique latine… Nombre des chansons qu’il popularise deviennent des succès internationaux (« Georgia on My Mind », « Hit the Road Jack »)

Joan Baez
Son infatigable militantisme social et pacifiste va faire de Joan Baez l’une des grandes figures des années 60. Compagne de Dylan pendant plusieurs années, sa production restera toujours très folk mais son engagement aura un énorme retentissement sur le rock. A la fin de la décénie, elle sera l’une des vedettes marquantes du festival de Woodstock.

Jet Black Leather Machine (Compil. Fév. 2009)
On pourrait facilement considérer le parcours et la carrière ratés de Vince Taylor comme un épiphénomène des débuts du rock-n-roll. Mais, jusque dans ses déboires et ses échecs, il en est emblématique et ce n’est pas un hasard s’il inspire Bowie pour le personnage de Ziggy Stardust. Les choses avaient pourtant bien commencé, « Brand New Cadillac » (1959) puis « Jet Black Machine » (1960) sont des succès…

Cliff
Cliff Richard apparaît à la fin des années 50 comme une réponse anglaise à Elvis Presley ou Eddie Cochran. Remarquable chanteur, il reprend à ses débuts les standards du rock-n-roll américain, accompagné par les Shadows (crédités sur cet album sous le nom de Drifters). Il jouit alors en Angleterre d’une immense popularité, qui va se prolonger dans les décennies suivantes.

A Date with Elvis
Au printemps 58, Elvis part faire son service militaire. Tom Parker, son manager, et le staff de sa maison de disque en profitent pour valoriser l’image du jeune américain modèle. Les photos d’alors, et cette quête de respectabilité, font mal et, malgré l’imense qualité des albums de cette époque, le mythe s’en trouve largement écorné pour beaucoup de jeunes… qui vont commencer à chercher ailleurs les modèles auxquels s’identifier !

Go Bo Diddley
Bo Diddley, disparu au printemps 2008, laisse à l’histoire l’image d’un grand original (avec ses fameuses guitares rectangulaires !). Mais il est surtout, sans avoir jamais décroché de véritable hit, l’un des pionniers du rock parmi les plus influents. Il se montre étonnamment créatif en dépassant, dès ses premiers albums, le cadre strict du rock-n-roll pour une exploration musicale qui cite allègrement le blues, le rhythm-n-blues, voire le gospel.

The Genius of Ray Charles
Le rhythm-n-blues, qui engendrera la soul music, est, avec le rock-n-roll, l’autre grande racine du rock… Et le père de la soul music est incontestablement Ray Charles. Ce monument, à la carrière immense, va influencer considérablement le rock des années 60 et bien au delà…

Chuck Berry Is on Top
L’album des grands classiques… « Maybellene » avait été le premier single à sortir en 1956, les Stones lui emprunteront « Carol », les Beatles « Roll over Beethoven »… et « Johnny B. Goode » est certainement le titre le plus repris de toute l’histoire du rock. Chuck Berry réalise ici son album probablement le plus essentiel et le plus soigné.

Live at Newport 1958
La frontière entre le blues, le rhythm-n-blues et le gospel est souvent ténue. Ce dernier genre, qu’on peut considérer comme la version « chrétienne » aux USA des deux précédents, va apporter au rock une contribution non négligeable par sa rythmique souvent torrentueuse et sa sensualité. Mahalia Jackson est la « superstar » pratiquement incontestée du gospel, inspiratrice directe des divas soul telles que Aretha Franklin…

Bound For Glory
Woody Guthrie est, avec Pete Seeger, le chanteur folk américain le plus important de la première moitié du 20ème siècle. Un engagement social énorme en faveur des minorités opprimées et une influence déterminante sur Bob Dylan. « Bound Of Glory » est aussi le titre d’un livre auto-biographique passionnant qui saisit parfaitement l’esprit de l’Amérique au moment de la grande dépression.

The Everly Brothers
Avec une décénie d’avance les Everly Brothers inventent le pop rock et les harmonies vocales qui feront les belles heures de Simon & Garfunkel (qui reprendront « Bye Bye Love »), des Beatles et de bien d’autres. Leur succès et leur influence vont être considérables. Ce premier album est en grande partie constitué de reprises (Ray Charles ou les pionniers du rock-n-roll) très fortement personnalisées.

Sam Cooke
Disparu prématurément en 1964, Sam Cooke est un artiste déterminant. Reconnu comme l’inventeur de la soul, il anticipe aussi, par le style, les années pop et touche un public universel, blancs et noirs, teenagers et adultes. Ses compositions seront reprises et/ou donneront des idées aux Drifters, Otis Redding et bien d’autres. « Wonderful World », tube international, est une pièce d’anthologie.

One Dozen Berrys
S’il fallait n’en citer qu’un parmi les pionniers, Chuck Berry serait certainement le véritable père du rock ! Compositeur, chanteur et redoutable guitariste, c’est aussi un phénomène social : premier noir à conquérir le public blanc (50 ans plus tard, l’Amérique se dotera d’un président black !). A l’époque, ce n’est bien sûr pas cela qu’on met en avant, mais c’est du rose qu’on affiche, avec un jeu très niais sur son nom de famille !

Gene Vincent and His Blue Caps
Gene Vincent dispose à ses débuts d’un atout majeur, le guitariste Cliff Gallup (idole absolue de Jeff Beck !). Encore présent sur ce deuxième album, il va quitter les Blue Caps… En tournée en Angleterre avec Eddie Cochran, Gene Vincent échappe à l’accident de voiture qui coûte la vie à son grand copain. Ses productions seront nettement plus faibles dans les années 60. Il cherchera en vain le come back. Il cotoie John Lennon sur la scène au Festival de Toronto en 69, mais, miné par l’alcool et des problèmes familiaux, disparaît en 1971 des suites d’un ulcère.

The Wildest
Louis Prima est un chanteur-trompettiste évoluant principalement dans l’univers jazz-swing. Mais il se rapproche du R&B;, puis de la pop dans les années 60. Il décroche un succès considérable avec le célèbre « Just A Gigolo », chanson d’origine italo-autrichienne de la fin des années 20, qu’il associe à un autre vieux titre, « I Ain’t Got Nobody ». Totalement en phase avec l’exubérance rock-n-roll des années 50, « Just A Gigolo » sera repris plus tard par David Bowie et David Lee Roth (Van Halen).

Dance Album
Le premier album de Carl Perkins est l’un des meilleurs des pionniers du rock. Il contient la plupart des standards de l’artiste, comme « Gone, Gone, Gone », « Everybody’s Trying to Be My Baby », « Honey Don’t » (repris par les Beatles), « Matchbox », « All Mama’s Children »… et bien sûr le célébrissime « Blue Suede Shoes » ! Le « Roi du Rockabilly » va cependant être rapidement doublé par Elvis Presley (le « King » tout simplement !) et ne retrouvera jamais vraiment par la suite le formidable succès qu’il avait connu à ses débuts.