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Symphony or Damn
Après les extravagances d’un second album qui déçoit un peu, l’homme de la soul BCBG des années 80 au look emprunté à la fois à Prince et à Bob Marley enregistre son opus le plus ambitieux et peut-être le plus réussi. Il combine la richesse des compositions de son premier album avec les excès sonores du second. D’Arby va pourtant progressivement passer assez largement dans l’ombre du concurent Lenny Kravitz.
Life Goes On
Dans une discographie sans faille, « Life Goes On » est sans doute le sommet de la production du Desert Rose, à mi-chemin de Eagles et de Poco. Mais c’est aussi le chant du signe. Il n’y a plus vraiment de marché à cette époque pour ce genre de groupes et l’album ne sera d’ailleurs édité qu’en Europe. Desert Rose Band se séparera en 1994.
Everybody Else Is Doing It, So Why Can’t We?
La qualité exceptionnelle d’un album n’en fait pas forcément un succès immédiat à grande échelle… ainsi la pop à consonnance celtique des Cranberries ne va trouver que très progressivement son public. Deux ans plus tard pourtant, ils seront devenus l’un des groupes phares de la scène indépendante et la voix particulière de sa chanteuse, Dolores O’Riordan, entre murmures et vocalises, sera mondialement connue.
August and Everything After
Quand les français comptent les moutons pour s’endormir, les américains, eux, comptent les corbeaux : « counting crows » !… Un premier album magnifique, avec le tube « Mr. Jones », dans un style proche de Van Morrison, du Band et de R.E.M.
Drunk
Vic Chesnutt est découvert par Michael Stipe (R.E.M.) qui l’aide à produire ses deux premiers albums. Ce guitariste chanteur paraplégique et original s’affirme rapidement dans la lignée des grands songwriters américains. En 1996, alors qu’il enregistre depuis une petite poignée d’années seulement, un album hommage sera enregistré pour lui par quelques uns de ses fans plus ou moins connus : Smashing Pumpkins, Garbage, R.E.M., Madonna… !!!
Frank Black
En conflit avec sa bassiste, Kim Deal, au sein des Pixies, Black Francis décide de dissoudre le groupe pour se lancer en solo. Il change son nom en Frank Black. Il commence par réviser ses classiques, de la pop sixties à la new wave et au metal des années 80, et collabore avec Eric Drew Feldman (ex-Captain Beefheart et Pere Ubu)… Mais les débuts sont difficiles et ce très bon premier album se vend plutôt mal.
Debut
Björk veut faire du neuf et se réoriente après la séparation des Sugarcubes. Elle s’intéresse à la dance, travaille avec Nellee Hooper, connu pour ses collaborations avec Massive Attack et Soul II Soul. La réussite est totale et immédiate : « Human Behaviour », « Venus as a Boy » et « Big Time Sensuality » sont des hits, Björk est la grande révélation du moment et « Debut » est sacré disque de l’année !
Selected Ambient Works 85-92
Ecouter Aphex Twin, c’est comme pénetrer dans un rêve. On perd, le temps de l’écoute, tout repère nous liant au « monde réel ». C’est un voyage que l’on ne peut décrire… mais alors pourquoi cette chronique ? Car « Selected Ambient Works 85-92 » est un album à découvrir et à aimer (ou pas). Richard David James (qui s’auto-produit ici) explore la profondeur de la musique électronique dans tout ce qu’elle peut avoir de minimal et d’ample à la fois. Quoi qu’il en soit, l’expérience est unique, au point même qu’il en devient difficile d’y relier des influences éventuelles. Chroniqué par Jérôme
Harvest Moon
20 ans après « Harvest », retour de Neil Young à un magnifique album acoustique et profondément folk. Paisible parcours, parfois nostalgique (le clin d’oeil du titre ?!), au travers de dix nouvelles chansons signées par l’une des plus belles plumes de l’histoire du rock.
La Sexorcisto: Devil Music, Vol.1
Le premier album de White Zombie sur une major connaît un important retentissement (le clip de « Thunder Kiss ’65 »). Le groupe new yorkais est parfois même alors présenté comme le futur possible du metal, étape historique (toute proportion gardée) comparable au « Appetite for Destruction » de Guns N’ Roses… Un rap-metal-industriel qui pratique allègrement le collage sonore et pioche ses sources tous azimtus, de Black Sabbath à Metallica.
Paul Weller
Après avec marqué la scène punk avec les Jam, la new wave des années 80 avec The Style Council, Paul Weller ouvre, en solo, avec la nouvelle décénie, la troisième phase de sa carrière. Il revient à une pop british, encore fortement marquée par la soul à la façon d’un steve Winwood.
In the Beginning
« In the beginning » ou la génèse d’un guitariste hors du commun. Enregistré le 1er avril 1980 dans un célèbre club d’Austin (Texas) et retransmis pour une radio locale, ce live montre un Stevie Vaughan (pas encore Stevie « Ray » et pratiquement inconnu), âgé de seulement 25 ans, interprêter d’une façon magistrale des grands standards du blues ainsi que des compos qui figureront sur le célèbre « Texas Flood » trois ans plus tard. Chroniqué par Pierre-André Bague
America’s Least Wanted
Dans l’univers habituellement black du metal, où l’on fait rarement dans la faitaisie, Ugly Kid Joe se distingue par son sens de l’humour et son goût pour la parodie. « Everything About You » est le tube de ce premier album et le groupe conquiert rapidement aux USA un public de teenagers… Pour tous ceux qui ne goûtent pas l’humour américain (ou ne comprennent pas l’anglais !) il reste un groupe au style pop metal plutôt plaisant.
Athens Andover
Etonnant come back des Troggs (qui n’avaient jamais cessé d’exister). Un nouveau public les découvre grâce à R.E.M. qui reprend « Love is All Around », leur succès des années 60… Tout ceci coincide avec la sortie d’une compilation (Archeology) qui retrace la première période historique de ce groupe à part.
Archeology (1967-1977)
Pas moins de 52 titres ! l’essentiel des 10 premières années des Troggs, un peu trop vite oubliés… Un franc-parler qui fit quelques remous en son temps, et un art consommé de la narration sur le mode d’une chanson de trois minutes… On y retrouve notamment leur fameuse et étonnante version de « Good Vibrations » des Beach Boys. A (re)découvrir impérativement !
Empty Arms Motel
Depuis les historiques Nighthaws, Jimmy Thackery s’est affirmé comme l’un des guitaristes virtuoses du blues moderne. Totalement crédible en reprenant Hendrix (« Red House »), il fait aussi du « Rude Mood » de Stevie Ray Vaughan son morceau de bravour… Vaughan dont il est considéré, depuis sa disparition, comme l’un des plus fidèles héritiers.
Grave Dancer’s Union
L’album de la reconnaissance internationale (le hit « Runaway Train »)… Plutôt assagi, et loin du premier album produit par Bob Mould (Hüsker Dü), Soul Asylum opère un virage assez country-rock. Pour la petite histoire, le clip de « Runaway Train », où défile des photos d’ados en fugue ou disparus, à permis d’en retrouver quelques-uns !
Sweet Oblivion
Grands ignorés de la scène de Seattle et du déferlement grunge, les Trees sont pourtant parmi les groupes les plus intéressants de l’époque. La « réhabilitation » viendra plus tard, lorsque le chanteur Mark Lanegan finira par imposer son immense talent en solo. Pour ceux qui ont quand même raté le coche il n’est pas trop tard, les deux derniers albums du groupe sont des indispensables perles !
Rage Against the Machine
Si le rap a rendu à la musique sa force de constestation sociale, s’il est par là devenu ce qu’était le rock à l’origine (comme le dit Neil Young), Rage Against The Machine met du rap dans le métal… mais rien à voir ici avec de simples subtilités artistiques, il y a une véritable colère, une véritable engagement, porté par le nom même du groupe. En plus, le cocktail musical est extraordinairement bon. Pour un premier album, une véritable bombe !
Automatic for the People
Dans une discographie quasie parfaite et sans la moindre faille, « Automatic for the People » est très généralement cité comme le meilleur album de R.E.M.. Et il est vrai que le groupe tutoie ici la perfection, avec une qualité de production époustoufflante. « Everybody Hurts » est le tube qu’on sait, mais tous les autres titres rivalisent de force ou de subtilité… Evidemment, l’un des très grands albums de la décénie !
Live at Wembley ’86
La publication en 1992 de ce grand live est marquante à plusieurs titres. Elle fait suite à la mort de Freddie Mercury et signe la fin d’une épopée. Il s’agit d’une compilation des concerts donnés au Wembley Stadium en 1986. Le répertoire de Queen était taillé pour la scène et ce double abum en atteste parfaitement… Un autre concert hommage sera organisé à cette époque dans ce même stade, avec des invités comme David Bowie, Elton John, Annie Lennox, Def Leppard ou Guns N’ Roses, avec une sensibilisation aux risques du sida.
Experience
L’un des tout premiers albums de la scène rave, qui demeure aussi une référence… The Prodigy va devenir, avec beaucoup de flair et de talent, un acteur majeur de la musique électronique des années 90. Accessible (chaque titre pourrait être un tube en puissance), le groupe a aussi une gestion de son image et des shows qui s’apparentent autant aux grandes scènes rock qu’à un environnement purement techno.
Miscellaneous Debris (EP)
Un mini CD de reprises iconoclastes… rien de moins que : Peter Gabriel, XTC, Residents, Meters et Pink Floyd !… et Primus réalise l’exploit, avec ce matériel des plus hétéroclites, de produire un ensemble aussi original que parfaitement cohérent !
Slanted And Enchanted
Pensé d’abord comme un projet de studio entre les guitaristes-chanteurs Stephen Malkmus et Scott Kannberg, Pavement devient progressivement un véritable groupe au début des années 90. Il s’impose rapidement, et particulièrement avec ce premier album, comme l’un des chefs de fil du rock indépendant américain et de sa dominante lo-fi (basse-fidélité !) tout au long de la décénie.